Quelque temps après les évènements de 28 jours plus tard, la quasi-totalité de la population du Royaume-Uni a été contaminée par « le virus de la fureur[1] ». L'île de Grande-Bretagne est mise en quarantaine afin d'éviter que celui-ci ne se propage dans le monde. 28 semaines plus tard, de nombreux contaminés sont morts d'inanition, les forces armées des États-Unis prennent position à Londres afin de commencer la reconstruction du pays. Plus aucun contaminé n'est présent dans une partie de la ville. Des mesures de sécurités draconiennes sont mises en place dans cette zone. Mais par un concours de circonstances, la contamination reprend.