Quelques jours avant le débarquement des forces alliées en août 1943, le colonel américain Ryan est abattu dans le ciel italien. Emmené de force dans un camp de prisonniers, il informe ses compagnons de captivité de l'imminence de la libération. Mais un major anglais décide d'organiser lui-même l'évasion, sans attendre l'arrivée des soldats alliés. La fuite se fera à bord d'un train.
Décembre 1944, les troupes Américaines basées à Amblève en Belgique, considèrent que la guerre est pratiquement terminée, et tous n'ont qu'une idée, fêter Noël. Pourtant, le Lieutenant-Colonel Kiley, des services secrets Américains, annonce qu'il faut s'attendre à une contre-offensive imminente dans le secteur Belge des Ardennes. Personne ne le prend au sérieux. Rappelé du front Russe par le haut Commandement Allemand, le Colonel Hessler et sa division de Panzers profitent du mauvais temps et de l'effet de surprise pour enfoncer les lignes Alliées tandis qu'un groupe de saboteurs infiltrés derrière le front réussit à désorganiser la riposte. Mais les Alliés se ressaisissent vite et imposent un repli à la vague d'assaut de Hessler, tandis que Kiley estime que les assaillants risquent de se retrouver bien vite à court d'essence. Leur but, en attaquant par surprise, consistait à s'emparer de stocks de carburants dont certains saboteurs s'étaient déjà rendus maîtres...
Durant la Seconde Guerre Mondiale, des officiers alliés récidivistes de l'évasion sont prisonniers et surveillés étroitement dans un stalag. Malgré cela, ils préparent une évasion massive. Avant même que l'alerte ne soit déclenchée, soixante-quinze d'entre eux parviennent à s'échapper...
Durant la Seconde Guerre Mondiale, des officiers alliés récidivistes de l'évasion sont prisonniers et surveillés étroitement dans un stalag. Malgré cela, ils préparent une évasion massive. Avant même que l'alerte ne soit déclenchée, soixante-quinze d'entre eux parviennent à s'échapper...
Italie, 73 av. J.C. Esclave devenu gladiateur, Spartacus est épargné par un de ses compagnons d'infortune dans un combat à mort. Ce répit soulève en lui plus que jamais le souffle de la révolte, et après avoir brisé ses chaînes, il enjoint les autres esclaves à faire de même. Rapidement à la tête d'une colossale armée, Spartacus entend rejoindre le port de Brides au sud du pays pour prendre la mer à bord des navires ciliciens. Mais l'Empire romain ne l'entend pas de cette oreille et lance ses légions à la poursuite des esclaves révoltés...
Durant la Seconde Guerre mondiale, deux soldats américains qui sont en poste dans la ville de Nice, tombent amoureux de la même femme, une jeune Française. Cette dernière n'arrive pas à choisir entre ses deux courtisans.
Durant la Deuxième Guerre mondiale dans le Stalag 17, deux prisonniers tentent de s'évader mais sont abattus. De plus, les Allemands découvrent l'existence du tunnel où tout les prisonniers devaient s'évader. Il y a donc un traître parmi les détenus, Sefton, un officier magouilleur et adepte du marché noir, est soupçonné.
Avril 1941. Les troupes du maréchal Rommel approchent de Suez. L'armée anglaise, emmenée par le capitaine Roberts, fait front et parvient à stopper l'avancée des Allemands à Tobrouk.
1942, aux Philippines. Un commando américain, dirigé par le capitaine Lassiter et le sergent Dane, a pour mission de faire sauter un pont et retarder ainsi la progression des troupes japonaises. Mais le surnombre de l'ennemi sera fatal aux américains: ils seront tous tués et le dernier, Dane, creusera sa propre tombe, tout en continuant à tirer sur les centaines de soldats Japonais qui se dirigent sur lui...
Ignorons un instant les atrocités de la Seconde Guerre mondiale et revenons quelques années en arrière, à l'époque d'une Allemagne nazie qui n'était pas encore synonyme d'holocauste et de plans insensés de domination mondiale, même si Mein Kampf en avait déjà suggéré les grandes lignes sans trop de subtilité. Dans un sens, Hitler fut le monstre inévitable que l'Europe créa par le Traité de Versailles en plongeant un pays entier dans une colère collective en leur faisant assumer la responsabilité de la Première Guerre mondiale, ce qui amena du même coup un affaiblissement fulgurant de l'économie nationale. Ce n'était finalement qu'une simple question de temps. Mais il faut tout de même reconnaitre que d'une certaine façon, Hitler et le parti national-socialiste à cette époque furent plutôt bénéfiques pour l'Allemagne, sortant le pays d'un gouffre économique qui semblait alors insurmontable tout en le lançant vers la modernité, ce qui aura beau fait de redonner espoir et fierté à une population qui, depuis un bon moment déjà, n'avait pas grand chose à contempler devant elle. Il n'est pas étonnant de ce fait que l'image que présente Triumph of the Will soit celle d'un peuple en adoration devant son chef. Relatant le sixième congrès annuel du parti nazi qui eut lieu à Nuremberg en 1934, ce film de propagande figurant parmi les plus célèbres de l'histoire tente d'exposer la droiture du système social sous la gouvernance d'Hitler et ainsi alimenter les passions tout en voilant au passage les pratiques politiques un peu plus axées sur la terreur de ce dernier. Hitler était évidemment comblé suite à la présentation de ce film qu'il qualifia de «glorification incomparable du pouvoir et de la beauté du mouvement nazi.» Mais il faut garder en tête qu'il s'agit bel et bien ici d'un film de propagande beaucoup plus qu'un documentaire, le but étant de faire état d'une Allemagne incontestablement forte, disciplinée et unie en célébrant la grandeur des édifices étatiques et sociaux. La cinéaste Leni Riefenstahl nous fait dès lors visiter les camps des jeunesses hitlériennes, mais étonnamment, son entreprise ne célèbre pas à ce point les institutions militaires du régime et glorifie plutôt les accomplissements civils. Triumph of the Will se compose principalement de différentes parades et rassemblements de foule gigantesques lors de l'inspection des troupes SA et des discours politiques des hauts dirigeants de l'état et, évidemment, d'Adolf Hitler, qui, sans tout révéler, exposent leurs idéologies d'une manière assez directe, ne cachant jamais l'édification d'un système totalitaire. L'enthousiasme suscité par ces annonces donne d'ailleurs froid dans le dos. Et à défaut d'être un exemple moral irréprochable, l'effort de Leni Riefenstahl propose une facture visuelle qui est en soi une réussite magistrale. Celle-ci fait part d'un flair visuel tout à fait hallucinant qui, grâce à un nombre gargantuesque de caméras, parvient à capturer la force et la présence des influences empiriques à travers les symboles de l'art nazi et une organisation civile minutieusement contrôlée. Sa mise en scène expose une finesse qui semble peindre une série de toiles dont la puissance des plans sert parfaitement les objectifs du film. Mais après un certain temps, cette glorification aussi insensée que passionnante a sévèrement tendance à tourner en rond. La seconde moitié de l'effort se concentre de cette façon presque uniquement sur la présentation d'une énorme parade qui, aussi superbement filmée puisse-t-elle être, parait franchement interminable. Il est inévitable que certains s'empresseront de condamner à nouveau le film de Leni Riefenstahl sans nécessairement l'avoir vu, croyant n'y trouver qu'une ?uvre incitant à la haine qui n'a tout simplement aucune raison d'être aujourd'hui. Dans les deux cas, c'est tout le contraire. Car quoi qu'on en pense, Triumph of the Will constitue maintenant une démonstration intimidante du système de propagande du régime national-socialiste qui, sans offrir le testament le plus franc et approfondi des politiques d'Adolf Hitler, permet de comprendre un peu mieux comment un peuple aura pu se laisser emporter dans des rouages politiques aussi égocentriques et haineux. L'importance d'une telle ?uvre de nos jours se manifeste dans la façon dont nous pouvons désormais l'approcher, le pamphlet de Rienfenstahl ne pouvant plus vraiment nous vendre ses idéaux douteux puisque nous avons l'avantage, contrairement au peuple allemand de l'époque, de connaitre les objectifs réels du nazisme. Triumph of the Will nous offre en ce sens à nous, gens du XXIe siècle, un regard d'une importance historique indéniable sur l'Allemagne des années 30 par le biais d'une entreprise esthétique exceptionnellement démesurée dont la force d'impact évidente à l'époque incite à un questionnement pour le moins fascinant sur ce qui fut pourtant un régime politique inexcusable.
Ignorons un instant les atrocités de la Seconde Guerre mondiale et revenons quelques années en arrière, à l'époque d'une Allemagne nazie qui n'était pas encore synonyme d'holocauste et de plans insensés de domination mondiale, même si Mein Kampf en avait déjà suggéré les grandes lignes sans trop de subtilité. Dans un sens, Hitler fut le monstre inévitable que l'Europe créa par le Traité de Versailles en plongeant un pays entier dans une colère collective en leur faisant assumer la responsabilité de la Première Guerre mondiale, ce qui amena du même coup un affaiblissement fulgurant de l'économie nationale. Ce n'était finalement qu'une simple question de temps. Mais il faut tout de même reconnaitre que d'une certaine façon, Hitler et le parti national-socialiste à cette époque furent plutôt bénéfiques pour l'Allemagne, sortant le pays d'un gouffre économique qui semblait alors insurmontable tout en le lançant vers la modernité, ce qui aura beau fait de redonner espoir et fierté à une population qui, depuis un bon moment déjà, n'avait pas grand chose à contempler devant elle.
Il n'est pas étonnant de ce fait que l'image que présente Triumph of the Will soit celle d'un peuple en adoration devant son chef. Relatant le sixième congrès annuel du parti nazi qui eut lieu à Nuremberg en 1934, ce film de propagande figurant parmi les plus célèbres de l'histoire tente d'exposer la droiture du système social sous la gouvernance d'Hitler et ainsi alimenter les passions tout en voilant au passage les pratiques politiques un peu plus axées sur la terreur de ce dernier. Hitler était évidemment comblé suite à la présentation de ce film qu'il qualifia de «glorification incomparable du pouvoir et de la beauté du mouvement nazi.» Mais il faut garder en tête qu'il s'agit bel et bien ici d'un film de propagande beaucoup plus qu'un documentaire, le but étant de faire état d'une Allemagne incontestablement forte, disciplinée et unie en célébrant la grandeur des édifices étatiques et sociaux. La cinéaste Leni Riefenstahl nous fait dès lors visiter les camps des jeunesses hitlériennes, mais étonnamment, son entreprise ne célèbre pas à ce point les institutions militaires du régime et glorifie plutôt les accomplissements civils.
Triumph of the Will se compose principalement de différentes parades et rassemblements de foule gigantesques lors de l'inspection des troupes SA et des discours politiques des hauts dirigeants de l'état et, évidemment, d'Adolf Hitler, qui, sans tout révéler, exposent leurs idéologies d'une manière assez directe, ne cachant jamais l'édification d'un système totalitaire. L'enthousiasme suscité par ces annonces donne d'ailleurs froid dans le dos. Et à défaut d'être un exemple moral irréprochable, l'effort de Leni Riefenstahl propose une facture visuelle qui est en soi une réussite magistrale. Celle-ci fait part d'un flair visuel tout à fait hallucinant qui, grâce à un nombre gargantuesque de caméras, parvient à capturer la force et la présence des influences empiriques à travers les symboles de l'art nazi et une organisation civile minutieusement contrôlée. Sa mise en scène expose une finesse qui semble peindre une série de toiles dont la puissance des plans sert parfaitement les objectifs du film. Mais après un certain temps, cette glorification aussi insensée que passionnante a sévèrement tendance à tourner en rond. La seconde moitié de l'effort se concentre de cette façon presque uniquement sur la présentation d'une énorme parade qui, aussi superbement filmée puisse-t-elle être, parait franchement interminable.
Il est inévitable que certains s'empresseront de condamner à nouveau le film de Leni Riefenstahl sans nécessairement l'avoir vu, croyant n'y trouver qu'une ?uvre incitant à la haine qui n'a tout simplement aucune raison d'être aujourd'hui. Dans les deux cas, c'est tout le contraire. Car quoi qu'on en pense, Triumph of the Will constitue maintenant une démonstration intimidante du système de propagande du régime national-socialiste qui, sans offrir le testament le plus franc et approfondi des politiques d'Adolf Hitler, permet de comprendre un peu mieux comment un peuple aura pu se laisser emporter dans des rouages politiques aussi égocentriques et haineux. L'importance d'une telle ?uvre de nos jours se manifeste dans la façon dont nous pouvons désormais l'approcher, le pamphlet de Rienfenstahl ne pouvant plus vraiment nous vendre ses idéaux douteux puisque nous avons l'avantage, contrairement au peuple allemand de l'époque, de connaitre les objectifs réels du nazisme. Triumph of the Will nous offre en ce sens à nous, gens du XXIe siècle, un regard d'une importance historique indéniable sur l'Allemagne des années 30 par le biais d'une entreprise esthétique exceptionnellement démesurée dont la force d'impact évidente à l'époque incite à un questionnement pour le moins fascinant sur ce qui fut pourtant un régime politique inexcusable.
Lors de la Première Guerre mondiale, Paul Bäumer et ses amis allemands sont obligés de s'enrôler pour faire plaisir à leur professeur qui leur dit qu'il faut défendre sa patrie. Bien vite, les adolescents se rendent compte qu'il n'y a pas que des bons côtés à la guerre. Les médecins manquent et les blessés, s'ajoutant aux morts, finissent par mourir.
Au retour de Paul, le professeur qui a convaincu les jeunes de partir pour la guerre est en train d'en motiver d'autres. Paul lui déclare qu'il n'y a pas de bons côtés à la guerre et dit aux jeunes présents de ne pas écouter le professeur.