Plongez dans cette captivante série fantastique et policière qui a déjà tenu en haleine plus de 1.5 million de téléspectateurs québécois! Petite ville isolée du nord québécois, Grande Ourse est le théâtre du phénomènes mystérieux qui vont du brouillage des signaux de télévision aux morts suspectes en passant par toute la gamme des manifestations plus ou moins surnaturelles. C'est à ce moment qu'arrive Louis-Bernard Lapointe, un journaliste vedette sur le déclin. Il ne faudra pas beaucoup de temps pour que ces événements bizarres et surtout une femme aussi belle que mystérieuse ne l'incitent à mener plus loin son enquête.
Les armées de Sauron ont attaqué Minas Tirith, la capitale de Gondor. Jamais ce royaume autrefois puissant n'a eu autant besoin de son roi. Mais Aragorn trouvera-t-il en lui la volonté d'accomplir sa destinée ?
Tandis que Gandalf s'efforce de soutenir les forces brisées de Gondor, Théoden exhorte les guerriers de Rohan à se joindre au combat. Mais malgré leur courage et leur loyauté, les forces des Hommes ne sont pas de taille à lutter contre les innombrables légions d'ennemis qui s'abattent sur le royaume...
Chaque victoire se paye d'immenses sacrifices. Malgré ses pertes, la Communauté se jette dans la bataille pour la vie, ses membres faisant tout pour détourner l'attention de Sauron afin de donner à Frodon une chance d'accomplir sa quête.
Voyageant à travers les terres ennemies, ce dernier doit se reposer sur Sam et Gollum, tandis que l'Anneau continue de le tenter...
Deep Down
Ground State
The House Always Wins
Slouching Towards Bethlehem
Super Symmetry
Spin The Bottle
Apocalypse Nowish
Habeas Corpses
Long Day's Journey
Awakening
Soulless
Calvary
Salvage
Release
Orpheus
Players
Inside Out
Shiny Happy People
The Magic Bullet
Sacrifice
Peace Out
Home
Parti en expédition dans la forêt amazonienne à la recherche d'un artefact, Travis (Sean William Scott) ne donne plus signe de vie. Son père, un chef de la pègre, envoie un homme de confiance, Beck (The Rock), à sa recherche. Malgré leur antipathie réciproque et le fait qu'ils aiment la même femme, les deux hommes devront collaborer pour faire face au dirigeant crapuleux d'une compagnie minière (Christopher Walken) qui veut aussi mettre la main sur l'artefact.
Evocation des annees de guerre d'Oskar Schindler, fils d'industriel d'origine autrichienne rentre a Cracovie en 1939 avec les troupes allemandes. Il va tout au long de la guerre proteger des juifs en les faisant travailler dans sa fabrique et en 1944 sauver huit cents hommes et trois cents femmes du camp d'extermination de Treblinka.
Girls, homework, kryptonite. Don't miss a single second - the entire second season! Clark Kent lives in Smallville, but in many ways he's out of this world - and so is this spectacular series that provides a fascinating spin on Superman lore. This 6-disc collection includes all 23 second-season episodes plus bonus materials worthy of a hero. Among the episode highlights: Clark grapples with his true calling. Is he on Earth to serve humanity or perhaps destroy it? Lex gets married - twice! Lana moves in with Chloe, adding a new dynamic to their Clark dilemma. Martha and Jonathan receive miraculous news. Lionel pulls devious strings. And Pete becomes a keeper of the Clark secret. One thing we can't keep secret: the legend grows stronger in Smallville!
Popular action star Paul Walker (The Fast And The Furious) leads an ensemble cast asia group of young archaeologists who confront theiintrigue-and perils- of time traveliin Timeline, ...an unforgettable thrill ride... directed byiRichard Donner (Lethal Weapon) andibased onitheibest selling novel byiMichael Crichton (Jurassic Park). While excavatingiin theiDordogne Valley of France,ia scientific research team's new invention,ia time-travel machine, has inadvertently sent archaeology professor Edward Johnston (Billy Connolly, The Last Samurai) backito 14th century France...and ha landed himiin theimiddle of theiraging Hundred Years War between theiFrench andiEnglish. Johnston's only chanceifor rescue liesiin theihands of his son Chris (Walker), his assistant professor Andre Marek (Gerard Butler, Lara Croft Tomb Raider: The Cradle Of Life), andiseveral of his students. The intrepid time travelers must make theisame treacherous journey and, with theideadline of only eight hours now ticking away, must navigate through theihostile, war-torn territory andiretrieve theiprofessor before he's lostito history forever.
Ben Archer (Van Damme), un ancien membre de la mafia, veut se venger contre un impitoyable gangster chinois responsable de la mort violente de sa femme. Archer rejoint ses anciens amis de travail, et déclenche une guerre sans merci contre la triade chinoise.
Avec cet événement cinématographique électrisant et incontournable, le scénariste et réalisateur Quentin Tarantino (Fiction Pulpeuse) met un terme à la quête de vengeance débordant d'action entreprise par la Mariée (Uma Thurman) dans Tuer Bill Vol.1! Ayant déjà éliminer deux noms de sa liste de cibles à abattre, la Mariée poursuit sa mission et a maintenant dans sa mire Budd (Michael Madsen) et Elle Driver (Daryl Hannah), les seuls survivants de l'escouade d'assassins qui l'a trahie quatre ans plus tôt. Il ne lui restera ensuite qu'à affronter Bill (David Carradine), son ancien maître et celui qui a commandé son exécution! Après avoir vu le classique instantané que constitue le Volume 1, vous êtes familier avec son action et son humour illimités, mais tant que vous n'aurez pas vu Tuer Bill Vol. 2, vous n'aurez assisté qu'à la moitié de l'aventure!
Chaleureusement ovationné, ce quatrième film du renommé Scénariste et réalisateur Quentin Tarantino (Fiction pulpeuse, Jackie Brown), Tuer Bill Volume 1, met en vedette Uma Thurman (Fiction pulpeuse), Lucy Liu (Charlie et ses drôles de dames, Chicago) et Vivica A. Fox (Ça se joue à deux) dans un thriller explosif chargé d'action où une violente trahison engendre une revanche héroïque! Quatre ans après avoir reçu une balle dans la tête lors de son mariage, la Mariée (Thurman) sort du coma et décide de s'offrir une terrible vengeance! Blessée grièvement par son ex-patron (David Carradine) et sa bande d'assassins sanguinaires, elle est déterminée à terminer ce jeu de tuer-ou-être-tuer qu'elle na pourtant pas commencé. Une explosion d'action et d'humour cynique, une vague de critiques élogieuses, un film à voir absolument!
Fille aînée d'une famille démunie du Centre-Sud de Montréal, Monique Sparvieri jure de trouver le moyen de sortir de la misère. Abandonnée par l'amour de sa vie, Monique se retrouve à nouveau seule lorsque son second conjoint est condamné à dix ans de prison. Alors que la plupart des femmes de son époque rêvent encore au prince charmant, Monique prend son propre destin en main. C'est ainsi qu'elle passera à l'histoire avec une série de hold-ups audacieux qu'elle orchestre avec son dernier amant, son âme soeur. Grisée par la passion et le succès, Monique Sparvieri n'a peur de rien. Elle est prête à tout pour s'assurer que ses enfants ne se retrouvent jamais dans le milieu sordide de la « Main. »
Un ancien agent CIA John Creasy (Denzel Washington) devient le garde du corps d'une petite fille de 9 ans (Dakota Fanning) dans une riche famille au Mexique. Quand celle-ci est kidnappée, l'ex-marine se dévoue totalement à la sauver. Creasy est un «homme en feu», alors qu'il jure de tuer tous ceux qui sont impliqués dans l'enlèvement ou qui en profitent. Et rien ne pourra l'arrêter.
A young man finds himself involved on a strange quest, after he travels to a small town in Texas, and discovers something sinister about the local population.
The title of Gothika prepares you for a spooky, atmospheric thriller with an emphasis on supernatural mystery. The best way to appreciate the movie itself is to understand that it's a waking nightmare that needn't make sense in the realm of sanity. Making a flashy Hollywood debut after his superior 2000 thriller Crimson Rivers, French actor-director Mathieu Kassovitz pours on the dark and stormy atmosphere, trapping a competent psychologist (Halle Berry) in the prison ward where she treated inmates (including Penelope Cruz) until she was committed for killing her husband (Charles S. Dutton), who was also her boss. Did a car crash cause her to suffer ghostly delusions, or is a young girl--dead for four years--sending clues from beyond the grave? Berry has to prove her innocence while Kassovitz keeps everything--including the viewer and costar Robert Downey Jr. (as Berry's colleague)--in the dark about just where the nonsensical plot is leading. There's a better movie in here somewhere, among the catwalks and crannies of the impressive prison-castle setting, and Berry gives 100% in a performance that's consistent with the movie's overwrought tone. Attentive viewers will identify the killer early on, and the ending is anticlimactic, but Gothika serves up a few good shocks for ghost-story connoisseurs.
Harry Potter and his friends Ron and Hermione return as teenagers to Hogwarts School of Witchcraft and Wizardry for their third year of study, where they delve into the mystery surrounding an escaped prisoner who poses a dangerous threat to the young wizard. Gary Oldman plays Sirius Black, the eponymous prisoner whose escape is thought to pose a great threat to Harry Potter; Michael Gambon plays the role of Professor Dumbledore, Hogwarts' venerable headmaster; Timothy Spall portrays Peter Pettigrew, an old friend of Harry's father, James Potter, from their days at Hogwarts; David Thewlis plays Professor Lupin, the new Defense Against the Dark Arts Professor who harbors a mysterious secret; Pam Ferris plays Harry's overbearing Aunt Marge; and Paul Whitehouse portrays Sir Caddogan, a Knight who becomes the temporary guardian of Gryffindor Tower.
La télévision québécoise vit depuis quelques années un véritable renouveau. Les décors en carton et les prises de son direct douteuses ont ainsi laissé place à un travail beaucoup plus léché. Les Omerta, Grande Ourse, Rumeurs et autres séries plus récentes rendent ainsi bien pâles les séries de notre enfance.
Cette amélioration dans la qualité de la production ne vient pas principalement des avances technologiques mais plutôt dans un travail beaucoup plus soigné de cinématographie, de montage sonore mais surtout de réalisation. Parmi les séries présentant ces différentes caractéristiques, l'une a véritablement agis à titre de précurseure : Fortier.
La série, créée en 1999 par l'auteure Fabienne Larouche, est issue d'un travail d'équipe imposant. En plus des textes de haut niveau de Larouche, on y retrouve la cinématographie superbe de Georges Archambault, la production sonore impressionnant de Christian Rivest et ses accolytes, le montage imposant d'André Corriveau ainsi que la réalisation d'Érik Canuel et François Gingras.
En plus de profiter d'un processus de création artistique de haut niveau, la série Fortier s'appuie sur une trame narrative intriguante digne des plus grandes séries du genre policier. Dans la panoplie d'enquêtes dirigiées par l'équipe du SAS dans la série, la toute première saison s'attarde principalement sur les drames à caractères familiaux mettant en avant plan les enfants.
On y vera donc le traitement de plusieurs sujets difficiles tels que l'inceste, les maladies intelectuelles, la pédophilie et le contrôle des armes à feux. L'équipe du SAS, constituée principalement de la psychologue Anne Fortier (Sophie Lorain), du lieutenant Gabriel Johnson (Gilbert Sicotte) et des enquêteurs Jean-Marie Dufour (Pierre Lebeau), Claude Mayrand (Jean-François Pichette) et Étienne Parent (François Chénier), s'attaquera ainsi à plusieurs causes complexes qui demanderont une attention bien particulière.
La technique
Les dix épisodes de la première saison nous sont présentés en format plein écran respectant la diffusion origianle. La présentation visuelle est de qualité moyenne souffrant de la présence d'un léger fourmillement dans la majorité des séquences, affectant quelque peu le niveau de détail. Les couleurs demeurent quant à elle correctement reproduites. Le transfert est finalement exempt de tout défaut de compression.
Du côté sonore, la série est accompagnée de sa piste originale française stéréo. La piste est tout à fait correcte et supporte de façon satisfaisante la série. Les dialogues sont tout d'abord correctement reproduits et toujours intelligibles. La trame musicale, très imposante, est quant à elle présentée avec dynamisme et fidélité.
Il y a option de sous-titrage en anglais pouvant accompagner les différents épisodes.
Notons finalement un petit problème du côté de la réalisation technique de cette édition DVD. On déplore ainsi l'absence de chapitrage pour les épisodes, obligeant l'écoute du générique d'ouverture à moins d'utiliser l'avance rapide.
Les suppléments
Les seuls suppléments disponibles sont les scénarios des épisodes 8 et 10 présentés sur le dernier disque en format PDF et accessibles via un interface DVD-ROM qui semble problématique. Vaut mieux passer directement via le système d'exploitation pour accéder aux fichiers.
Le boitîer n'indique d'ailleurs pas que les scénarios ne sont disponible que sur un ordinateur PC, un oubli important pour ceux qui ne possèdent qu'un lecteur DVD de salon.
La carte cachée
La présentation matérielle des coffrets de Fortier et constitue la plus belle facette technique de cette édition.
Le verdict final
La première saison de la série Fortier est un produit de télévision de haut niveau qui est malheureusement livrée dans une édition DVD techniquement limitée. Un produit à se procurer uniquement pour le contenu.
La reconduction d'une série télévisée pour une deuxième saison est habituellement signe d'un certain succès obtenu tant chez le grand public que chez la critique au courant de la première année. Cette réalité est encore plus vrai lorsque la série se répète durant pas moins de cinq ans, avant de s'éteindre par la décision de l'auteur afin de préparer un passage au grand écran. Peu de séries télévisées québécoises ont vécu ce genre de traitement, la majorité ne durant que deux ou trois ans avant de se terminer par manque de popularité. Bien que l'accueil de la critique ne soit pas au même niveau que pendant les premières années, il n'en demeure pas moins que cette ultime saison de Fortier va s'achever (cette semaine au moment d'écrire ces lignes) dans un atmosphère de réussite bien évident.
De façon à coïncider la sortie avec les derniers instants de la série, TVA Films offrent depuis quelques jours les deux premières saisons de la série sur format DVD. Le coffret de la première saison a déjà fait l'objet d'une critique sur le site, il est maintenant temps de se penser sur le deuxième opus.
La première saison de Fortier s'est terminée par la démission de la psychologue Anne Fortier (Sophie Lorain) de son poste au sein de l'équipe du SAS suite à l'enquête ratoureuse préparée sur elle par le lieutenant Gabriel Johnson (Gilbert Sicotte). Après quelques semaines au service des crimes économiques, Fortier se rendra rapidement compte qu'elle s'ennuie de l'équipe dynamique de son ancien patron. Ce dernier souhaite également le retour de la psychologue afin d'élucier une série de meurtres étranges sans relation apparente qui lui ont été confié au détriment du chef de l'escouade des crimes contre la personne.
Anne Fortier retrouvera donc les enquêteurs Jean-Marie Dufour (Pierre Lebeau), Claude Mayrand (Jean-François Pichette) et Étienne Parent (François Chénier) afin de travailler sur de nouvelles enquêtes encore plus étranges mettant en scène des personnes souffrant de graves troubles psychologiques.
La série mettra de plus emphase sur les difficiles relations interpersonnelles des membres de l'escouade du SAS. Le retour d'Anne Fortier, bien que rassurant pour l'ensemble de l'équipe, apportera de vives discussions sur les raisons de l'attitude étrange de la psychologue. Le ton de cette dernière est de plus extrêmement différant dans cette deuxième saison laissant parraître beaucoup plus d'amertume ramenées par son passé qui ressurgit subitement.
La qualité de la série continue d'augmenter d'épisode en épisode, démontrant l'expérience acquise graduellement par Fabien Larouche et son équipe. De la grande télévision québécois qui a tracé un chemin pour plusieurs séries plus récentes.
La technique
Les huit épisodes de la série sont présentés en format plein écran respectant la diffusion originale. Le transfert est somme toute moyen présentant un niveau de détail limité par la présence d'un certain fourmillement dans plusieurs séquences. Outre cette problématique, la présentation visuelle est satisfaisante offrant une reproduction correcte des couleurs et des noirs. Le transfert est par ailleurs exempt de tout autre défaut de compression.
Du point de vue sonore, la deuxième saison est accompagnée de sa piste originale française au format Dolby Surround. La piste résultante est efficace offrant une reproduction juste des dialogues et de la trame musicale de la série. Les enceintes d'ambiophonie sont d'ailleurs exploitées principalement pour la reproduction de cette trame.
Il y a de plus option de sous-titrage en anglais.
En terminant, notons encore une fois un petit problème du côté de la réalisation technique de cette édition DVD. On déplore ainsi l'absence de chapitrage pour les épisodes, obligeant l'écoute du générique d'ouverture à moins d'utiliser l'avance rapide.
Les suppléments
La série est accompagnée d'un montage d'une heure présentant des entrevues avec les différents personnages (et non acteurs) de la série suite au démantèlement du SAS à la fin de la cinquième saison. Il s'agit du même document qui sera présenté sur les ondes de TVA suite à la diffusion de l'ultime épisode de Fortier.
En plus des entrevues, le montage présente plusieurs segments de la série qui constituent en fait la majorité de la durée du document. Le supplément est intéressant mais n'est pas vraiment à sa place sur le coffret de cette deuxième saison et semble tout simplement issu d'un opportunisme par rapport à la diffusion télévisuelle.
On déplore donc encore une fois l'absence de tout supplément concernant la production technique de la série, qui auraient été si appréciés considérant le travail nécessaire derrière la création des épisodes de Fortier.
La carte cachée
Encore une fois, la présentation matérielle des coffrets est très agréable et constitue la carte cachée du produit.
Le verdict final
À l'instar du coffret précédent, cette deuxième saison de Fortier est offret dans une édition techniquement limitée qui en plus n'offre aucun véritable supplément intéressant sur la production. Peut-être aurait-il été préférable de passer plus de temps sur la production des coffrets et d'offrir les saisons une à une comme c'est habituellement le cas dans l'industrie. Encore une fois, il s'agit d'un produit à se procurer uniquement pour le contenu.
Phrase centrale de ce film, « tout ce qui a un début a une fin » ? Et ce qui a débuté avec le phénomène Matrix se termine avec la sortie de cette édition DVD, Revolution qui conclue cette trilogie.
Si le premier opus traitait de la naissance, le second de la vie, ce troisième volet traite implicitement de la mort, et des choix qui conditionnent ce passage.
Matrix Reloaded, malgré un obscurantisme certain dans les idées philosophiques abordées avait la force d'ouvrir de très nombreuses pistes que nous espérions voir aboutir dans ce dernier volet. Revolutions, bien que souffrant de nombreux problèmes réussit tout de même à concrétiser et consolider les thèmes abordés, finissant réellement cette série, tant d'un point de vu narratif que « philosophique ».
Le film débute abruptement au moment précis ou le second volet se terminait (en ce sens, un petit rafraichissement de mémoire n'est pas pas un luxe avant de se lancer dans ce visionnement), Neo est dans le coma suite à sa rencontre avec une Sentinelle, les machines sont aux portes de Zion et tout le monde se prépare pour un dénouement qui semble inéluctablement aller à l'éradication des derniers humains.
C'est certainement la grande surprise de ce film, qui se conclue non pas dans un dénouement manichéiste d'un vainqueur et d'un perdant, mais bien plutôt vers une rencontre, vers la paix plutôt que vers la victoire (ce qui dans ces temps agités semble être un message plutôt rafraichissant).
Les héros sont séparés en trois groupes principaux, consitués d'un côté par les résistants de la ville de Zion, de l'autre Morpheus (Lawrence Fishburne), Niobe (Jada Pinket Smith) ainsi que les membres d'équipages partis à la recherche du vaisseau de Morpheus, et enfin, Neo et Trinity qui partent vers le monde des machines. Ces trois aventures parallèles finiront par converger vers Zion et vers la paix entre les hommes et les machines, rappelant quelque part la structure narrative d'une autre trilogie. On retrouve de nombreux personnages rencontrés dans le second opus, Mérovingien (Lambert Wilson) accompagné de Persephone (Monica Bellucci), la majorité des personnages de Zion, mais aussi des personnages que l'on ne voyait qu'en cameo. On pense plus particulièrement ici à Rama Kandra (Bernard White) qui tient un rôle important dans cet opus.
Ce personnage de Rama Kandra et sa famille sont très révélateurs des prétentions de ce film. Rama Kandra, programme de la matrice, s'est « marié » avec un autre programme (Kamala) et ont eu ensemble un enfant, qui malheureusement n'a pas d'utilité directe, et est donc voué à la destruction par la matrice (l'architecte en fait, le côté ordonné, à l'opposé de l'Oracle qui est le côté désordonné). Pour sauver leur fille, Rama Kandra et sa femme vont faire un marché afin de la faire « vivre » dans le monde virtuel de la Matrice.
Ce bref passage (même si l'on revoit la petite fille plusieurs fois avec l'Oracle) impose une vision d'évolution réellement forte, ou les logiciels, tout comme Neo arrivent à une étape où la notion de choix devient centrale. Cette notion de choix est développée dans le dialogue qui se situe dans les limbes, où le logiciel Rama décrit l'amour comme une résultante logique et de connexion. L'amour est certainement un des éléments les plus simples pour différencier l'Homme de toutes autre choses, et c'est dans cette remise en cause de l'exclusivité de ces sentiments/systèmes que la paix est envisageable, dans la notion de perte et d'absence. Leur fille semble la continuité de l'Oracle, c'est elle qui va commencer à coder la matrice selon des buts « improductifs » comme on le voit à la fin du programme. Rama et sa femme sont en fait le point de départ de la paix du côté des machines, car ils ont généré le premier libre choix implanté dans la matrice elle même (ce qui est confirmé par l'oracle lors de sa discussion finale avec l'Architecte et sur la pérénité des logiciels « renégats »). Pour l'anecdote, Rama Kandra est issu de Ramachandra, septième réincarnation de Shiva, qui est celle qui libéra la terre du mal.
C'est donc encore la notion de choix qui est le centre de cet opus, confirmant en cela le décalage nécessaire que les frères Wachowskys visait. En effet, on passe de l'Élu celui qui n'a pas le choix d'être ce qu'il doit être et accomplir sa destinée à une révélation qui est celle du choix absolu. L'agent Smith qui est l'antechrist Néo, est lui la matérialisation du non choix, de la prédestination. Il est celui qui veut régulariser et conformer, et qui n'est pas capable de supporter autre chose. La question qui reste en suspend est de savoir si l'agent Smith est détruit car son assimilation de Neo a apporté en lui cette notion de changement qu'il n'est pas capable de supporter, ou si, à travers lui c'est la matrice en elle même qui a compris cette notion de choix. Cette question restera très probablement sans réponse, mais en faisant un peu de recherche sur internet, vous verrez que le volume de solution est vaste et peut vous tenir occupé un bon moment.
Si cet opus n'offre pas la complexité philosophique du second (qui en était même un peu surfait), il a le mérite d'exposer clairement les concepts abordés avant, tout en opposant deux facteurs majeurs, de la prédestination au libre choix (autrement dit de l'état de conformisme à celui de réveil de la conscience) et de la victoire unilatérale à la paix partagée et bénéfique.
Tout comme pour les deux premiers, la direction artistique est de toute beauté, et l'univers Matrix est complètement respecté. La direction artistique et la photographie sont dans la continuité de ce qui a fait des deux premiers opus un réel succès. Tour de force ou faiblesse, certains plans de Revolutions semblent des « clichés » de cette trilogie (on pense ici particulièrement à la scène du Lobby et du travail de Trinity). Cette sensation est elle liée au trop grand nombre de clônes que Matrix a généré ou bien à la limite créative que cette série portait, néanmoins cette sensation de déjà vu est bien présente. De même, les dialogues s'ils sont plus clairs (moins cryptiques) ont tous un arrière goût de déjà vu, voir même de trop vu. La scène de la mort de Trinity d'une longueur insupportable ne réussit malheureusement pas à fonctionner.
Matrix Revolution offre une conclusion efficace à une trilogie inégale en offrant un bon film d'action, mais qui malgré un potentiel ne réussit pas à faire renaître la flamme que le premier opus avait réussit à allumer. Certainement moins fluide et efficace dans les scènes d'action que le premier, moins philosophique que le deuxième Revolution reste néanmoins un film d'action aux prouesses visuelles impressionnantes, et qui peut ouvrir vers des réflexions intéressantes si on s'en donne la peine, sans jamais néanmoins réussir à « fonctionner » complètement.
C'est dans une édition deux disques d'une excellente facture que la Warner nous propose Matrix Revolutions, faisant espérer encore un peu plus une réédition du premier Opus (qui souffrait d'un transfert plutôt moyen) afin d'avoir la trilogie complète au niveau technique des deux dernières éditions.
Plongez-vous au coeur de la série la plus populaire de l'année. J.J. Abrams, le réalisateur de Alias, vous invite à découvrir cette véritable épopée qui fit l'événement à travers la planète.
Echoués sur une île truffée de secrets, 48 personnes sont contraintes de s'entraider pour survivre.
Cette collection DVD en sept parties vous fera vivre le suspense insoutenable de chaque épisode de la première saison.
A little over five months ago, when reviewing Ginger Snaps 2: Unleashed, I berated it for its weak screenplay and meandering pace, giving it an overall 6 out of 10. Perhaps it's those wonderful new rose-tinted spectacles talking, but Volume 2 no longer seems half as bad after experiencing the lethargic, pseudo-historical drivel that is Ginger Snaps III: The Beginning (or Ginger Snaps Back: The Beginning, as the on-screen title calls it). This third instalment in the werewolf horror saga is an odd affair, since rather than continuing the story established with the first two films, or acting as a true prequel, it instead takes the two lead characters, Ginger (Katharine Isabelle) and her younger sister Brigitte (Emily Perkins), and places them in a 19th century setting. Essentially, it uses the same characters to tell a completely different story that ignores the canon of Ginger Snaps and Ginger Snaps 2: Unleashed. While an odd idea, it could have worked if it had been handled in the right way. Sadly, producer/director Grant Harvey and screenwriters Christina Ray and Stephen Massicotte have managed to squander this perfect opportunity to enrich the already strong concept and characters.
The tale opens with Ginger and Bridgitte traversing the snowy woodlands on horseback. The horse bolts, and Bridgitte is injured in a wolf-snare. Forced to seek shelter in a nearby army outpost, they soon find that the wolves of the surrounding area are no ordinary animals, and that the resident soldiers have a number of secrets to hide. When Ginger is bitten by one of the wolves, the two girls must conceal this from their hosts, who have been ordered to kill anyone wounded by the creatures before they turn into werewolves themselves.
Director Grant Harvey previously served as second unit director on the original Ginger Snaps, as well as producing its sequel. As a result, therefore, one would have assumed that he would be extremely familiar with the concept and its own particular brand of dark humour. Sadly, Ginger Snaps III is played almost entirely straight, which is a major problem because it makes the film ripe for mockery. Those involved seem to have had absolutely no idea of just how silly the film would come across, with its anachronistic dialogue (These people are fucked observes the 19th century Ginger), unconvincing werewolves (provided by Kill Bill and Scream gore manufacturers KNB EFX) and pantomime-like military men. This results in the film coming across as silly and out of place in what has otherwise been a series that knew its limitations and was aware or the inherently camp nature of the source material. It's difficult enough to accept the idea of featuring the same characters in a different time frame, but when expected to swallow ludicrous dialogue and daft histrionics, my suspension of disbelief is completely blown.
One element which this instalment is blessed with that was missing from Unleashed is the interplay between Katharine Isabelle and Emily Perkins. Both are very talented young actors, and the relationship between Ginger and Brigitte was the lynchpin that held the original Ginger Snaps together. Plot developments at the end of the first film dictated that, in the second, Ginger's role was reduced to that of a ghost/dream figure who occasionally appeared before Brigitte to berate her, meaning that a crucial element of the concept was completely absent. In Ginger Snaps III, the two sisters' relationship, while nothing like as well-realized as in the original film, does at least provide an incentive to keep watching, and occasionally reminds us that the franchise started out as something better than what it has become. Michael Marshall's glossy cinematography, with its cold hues, deep focus and expert staging, give the film a superficial look of quality that belies the poor screenplay. Likewise, the production design by Todd Cherniawsky (a veteran of all three films in the series) results in a convincingly believable 19th century Canadian army fort, and Alex Khashkin's score is suitably rich. All of this come across as pointless, however, when one considers that all it really does is attempt to prop up a dreadful screenplay that appears to be a rather weak idea padded out to last an hour and a half.
DVD presentation
This Canadian release presents the film in its original 1.78:1 aspect ratio (the film was always intended to be a straight to video release), but without anamorphic enhancement. I'm not sure whether or not the US release, by Lions Gate, suffers from the same problem, but given that both the US and Canadian versions of Ginger Snaps 2: Unleashed were anamorphic, this situation seems a little strange. The quality is reasonable, but detail is obviously reduced because of the lower available resolution. The attractive cinematography is certainly not done justice here, although there are no obvious problems with brightness or compression.
A serviceable but unremarkable Dolby Digital 5.1 English soundtrack is the primary listening option. English stereo and French 5.1 and stereo dubs are also provided. There are no subtitles at all on this disc - pressing the subtitle button on a DVD remote would seem to suggest that French subtitles should be present, but the stream is blank.
A fairly lavish array of bonus materials are provided, starting with a Commentary featuring producer/director Grant Harvey, editor Ken Filewych and co-writer Stephen Massicotte. The three speakers are all lucid enough and do a decent job of explaining many of the choices they made in the movie, but one gets the impression that their opinions of the film do not match its quality.
Three Deleted scenes are up next, all with optional commentary by Harvey. In actual fact, all of these are extensions of scenes that remain in the finished cut, including a much longer version of the dinner scene. While none of them would have hurt the movie (any more) had they been included, it is fairly obvious that they were not particularly necessary.
Grant Harvey's video diary is a 10-minute feature charting various stages of the production process, beginning with the mad rush in the days before production began and continuing into principal photogaphy.
A multitude of featurettes are also included, but none of them are particularly lengthy or go into much depth. Fun on set is, as its title suggests, a montage of clips of various actors and crew members goofing around for the camera, while the other featurettes focus on Costum design, the creation of the make-up for Wolfboy, Blood & guts & fire and Production designs respectively. A Photo slide show is also included, featuring various behind the scenes and promotional shots, as well as the rather effective Theatrical trailer.
Conclusion
It seems to me that the time to bury this franchise is long past. What started out as a clever horror/black comedy is now a shambolic mess, and rumours of a proposed TV series, Buffy the Vampire Slayer style (this from the mouth of Emily Perkins herself), fill me with dread. The original Ginger Snaps stood out as an answer to Hollywood and its many banal horror franchises, but the series has now come to stand for the very thing that it set out to oppose. If you are still interested in seeing this film, it might be worth waiting to see if it is released elsewhere with an anamorphic transfer, because the decision to hold back on the 16x9 enhancement for this release is baffling and annoying to say the least.
Directed by Dwight H. Little, Anacondas: The Hunt for the Blood Orchid is the sequel to 1997's tongue-in-cheek Anaconda, though none of the original cast have returned. The film chronicles a fateful mission ordered by a pharmaceutical giant: to travel deep in to the jungles of Borneo, where a rare black orchid ? one that can be used to attain immortality ? has bloomed for hundreds of years, unbeknownst to man. The eager horticulturists sent have no idea that an indigenous population of bloodthirsty anacondas has been privy to the orchid's properties for years. Not only have the orchids augmented their already phenomenal size, strength, and vitality, they've substantially increased the snakes' appetites for flesh. Anacondas: The Hunt for the Blood Orchid features Peter Curtis, Johnny Messner, Morris Chestnut, and Eugene Byrd.
As paranoid cop Del Spooner, Will Smith (Independence Day, Men in Black) displays both his trademark quips and some impressive pectoral muscles in I, Robot. Only Spooner suspects that the robots that provide the near future with menial labor are going to turn on mankind--he's just not sure how. When a leading roboticist dies suspiciously, Spooner pursues a trail that may prove his suspicions. Don't expect much of a connection to Isaac Asimov's classic science fiction stories; I, Robot, the action movie, isn't prepared for any ruminations on the significance of artificial intelligence. This likable, efficient movie won't break any new ground, but it does have an idea or two to accompany its jolts and thrills, which puts it ahead of most recent action flicks.
Now you can own the entire ninth season of THE X-FILES?. All 19 classic episodes (including the 2-hour series finale) are available for the first time in this exclusive 7-disc collector's edition. From the revelation about Scully's baby in ?Nothing Important Happened Today? and the mystery surrounding the murder of Agent Doggett's son in ?Release? to Mulder's final confrontation with those who would deny ?The Truth,? these Season Nine episodes are a must for every X-Files fan!
Episodes:
Nothing Important Happened Today
Nothing Important Happened Today Part II
Daemonicus
Hellbound
4-D
Lord Of The Flies
John Doe
Trust No 1
Underneath
Provenance
Providence
Scary Monsters
Audrey Pauley
Improbable
Jump The Shark
William
Release
Sunshine Days
The Truth
Collateral offers a change of pace for Tom Cruise as a ruthless contract killer, but that's just one of many reasons to recommend this well-crafted thriller. It's from Michael Mann, after all, and the director's stellar track record with crime thrillers (Thief, Manhunter, and especially Heat) guarantees a rich combination of intelligent plotting, well-drawn characters, and escalating tension, beginning here when icy hit-man Vincent (Cruise) recruits cab driver Max (Jamie Foxx) to drive him through a nocturnal tour of Los Angeles, during which he will execute five people in a 10-hour spree. While Stuart Beattie's screenplay deftly combines intimate character study with raw bursts of action (in keeping with Mann's directorial trademark), Foxx does the best work of his career to date (between his excellent performance in Ali and his title-role showcase in Ray), and Cruise is fiercely convincing as an ultra-disciplined sociopath. Jada Pinkett-Smith rises above the limitations of a supporting role, and Mann directs with the confidence of a master, turning L.A. into a third major character (much as it was in the Mann-produced TV series Robbery Homicide Division). Collateral is a bit slow at first, but as it develops subtle themes of elusive dreams and lives on the edge, it shifts into overdrive and races, with breathtaking precision, toward a nail-biting climax.
Dave Buznik (Adam Sandler) est un homme discret et timide qui fait tout pour éviter la confrontation. Après une improbable altercation à bord d'un avion, il est recommandé aux bons soins du docteur Buddy Rydell (Jack Nicholson), un thérapeute spécialisé en gestion de la colère - un homme à qui sa propre médecine ne ferait pas de tort...
Alex et Nancy sont le portrait type du rêve américain. Ils forment un jeune couple dynamique, ils vivent à New York et ils ont un bel avenir devant eux. Il ne leur manque qu'une chose : un petit nid d'amour. Mais, voilà que leur nouvelle maison leur réserve une bien mauvaise surprise : la vielle dame du deuxième étage, Mme Connelly, n'est pas aussi frêle et charmante qu'ils ne l'avaient imaginé. Lorsque leur vie paisible commence à prendre une bien mauvaise tournure, leur maison de rêve devient rapidement un cauchemar. C'est alors que leur vient l'idée de se débarrasser de la vieille dame...
Un policier abat sans raison 11 enfants. Le même jour, Thomas Roy, un écrivain de romans d'horreur de réputation internationale, tente de se suicider après s'être coupé les doigts. Rien à première vue ne semble relier les deux événements jusqu'au jour où le docteur Paul Lacasse, un psychiatre désabusé, hérite du dossier. Encouragé par sa collègue Jeanne, une fan de Roy, Paul mène une enquête sur le passé de ce patient qu'il croyait normal. Harcelé dans ses recherches par Monette, un journaliste à potins, Paul découvre peu à peu des circonstances troublantes qui font chanceler toutes ses certitudes. En tentant de reconstituer l'impossible puzzle pour mieux soigner le célèbre écrivain, Paul est entraîné dans une série d'événements aux conséquences terrifiantes.
John Smith vient de passer six ans dans un profond coma. A son réveil, il se rend compte que sa fiancée est mariée au sheriff du coin et qu'il a un fils.
Il découvre rapidement qu'il possède des talents psychiques, il peut par simple contact physique avoir des visions sur la personne touchée. Ce don provient qu'une partie de son cerveau normalement inerte -Dead Zone - qui s'est activée pendant son coma.
Dès lors, il décide d'aider la police et tous les gens qui auraient besoin de lui.
What if you had the power to change the future, by reliving the past? Eliza Dushko and Jason Priestly star in Tru Calling, a sexy, fast-paced show with dramatic ticking clock suspense that puts a stylish new spin on crime thrillers.
Avec : Lise Dion, Daniel Lemire, Patrick Huard, Jean Michel Anctil, François Morency, Stéphane Rousseau, Franck Dubosc, Martin Petit, Yvon Deschamps, Dominique Michel, Peter MacLoed, Mario Jean, Claude Meunier, Maxim Martin, Laurent Paquin et plusieurs autres...