Un avion transportant un groupe d'enfants s'écrase. Mais un événement inexplicable survient : la mémoire de leur existence disparaît complètement de la société. Même pour leurs parents proches, ceux-ci n'ont jamais existé. Seule la mère d'une des victimes se rappelle son enfant. Mais elle ne peut retrouver aucune preuve de son existence passée : aucune photo, aucun dessin, rien. Elle croit devenir folle, jusqu'au jour où elle fait la connaissance d'un homme en deuil de son enfant qui est mort dans le même accident d'avion.
Obsédé par l'idée de vouloir enseigner à ses victimes toute la valeur de la vie, un tueur en série sadique et totalement dérangé kidnappe des personnes dont la moralité est douteuse et les force à s'engager dans des jeux ignobles au péril de leur vie. Confrontée à des choix impossibles, chaque victime doit lutter pour reconquérir sa vie, au risque de mourir au milieu de la partie.
Oscar (Will Smith) est un petit poisson volubile dont les rêves de grandeur le mettent plus souvent qu'autrement dans l'eau chaude. Lenny (Jack Black) est un grand requin blanc qui a un côté sensible, et un secret : il est végétarien. Lorsqu'un pieux mensonge transforme Oscar en héros et que la vérité sur Lenny en fait un paria, les deux poissons deviennent des amis bien improbables. Baignant dans la gloire et la fortune, ayant désormais sa place en haut du récif, Oscar croit avoir accédé à la grande vie... jusqu'à ce qu'il ait à défendre son nouveau titre!
Une petite communauté isolée vit dans la certitude qu'une force maléfique menaçante réside dans les bois entourant le village. Personne n'ose s'aventurer au-delà des limites du village, jusqu'à ce qu'un jeune homme entêté fasse preuve d'une audace qui menace de changer à jamais l'avenir de tous...
Une femme (Kim Basinger), ayant été kidnappée et qui se trouve séquestrée, parvient à passer un appel téléphonique au hasard et tombe sur le téléphone cellulaire d'un jeune homme (Chris Evans) à qui elle demande de l'aide. Ce dernier, ne connaissant rien de la victime, doit affronter un monde sans scrupules et meurtrier afin de la sauver. Un thriller haletant qui vous rivera à votre siège.
À l'aide d'une manipulation d'image, les vampires ont réussi à piéger Blade. Pour le FBI, il devient alors l'ennemi à capturer. Pourchassé par les hommes et condamné par les vampires, Blade va devoir se battre sur tous les fronts. Pour ce faire, il s'associe avec les Nightstalkers, un groupe de vampires humains dirigé par la séduisante Abigail et le rusé Hannibal King.
L'histoire basée sur des comics 'The Elektra Assassin' et 'The Elektra Saga'. Après avoir épargné celui qu'elle devait assassiner, la belle et fatale Elektra (Jennifer Garner) se trouve confrontée aux membres de La Main, une organisation criminelle qui l'a entraînée aux arts martiaux puis trahie.
Mark, Mary et leurs enfants Regina et Paul ont quitté les États-Unis pour venir vivre en Espagne, pays d'origine de Mark. Ils s'installent dans une grande maison de campagne qui semble idyllique. Mais des incidents bizarres ne tardent pas à bouleverser leur quiétude. Sujet à de graves et soudaines crises d'angoisse, Mark adopte un comportement de plus en plus inquiétant. Le petit Paul, de son côté, se réveille le matin avec d'étranges marques au cou et prétend voir des fantômes dans sa chambre. Alertée par ces événements, Regina tente de persuader sa mère d'abandonner la demeure, mais en vain. L'adolescente entreprend alors, avec l'aide d'un camarade de classe, de découvrir le terrible secret qui se cache dans le passé trouble de cette résidence hantée.
Greg Focker (Ben Stiller) est un brave infirmier qui accumule les déboires, les maladresses et les faux-pas. Soucieux de plaire à tout le monde et de faire oublier son nom grotesque, sa première entrevue avec ses futurs beaux-parents Jack (Robert De Niro) et Dina Byrnes (Blythe Danner) fut un concentré exemplaire de tout ce qu'il ne faut pas faire dans de telles circonstances. Entre-temps, les choses se sont arrangées, et Greg a même réussi à amadouer le terrifiant Jack et à intégrer son cercle de confiance. Pam (Teri Polo) et lui peuvent donc envisager le mariage, mais il reste à organiser une réunion entre les Byrnes et les Focker (Dustin Hoffman et Barbra Streisand). Un paisible week-end en Floride dans la propriété de Bernie et Roz Focker, un fervent libéral, elle sexologue militante, permettra enfin aux deux familles de lier connaissance. Un ultime examen de passage, qui ne devrait pas poser de problème...
Un duo de voleurs hors pair s'évade vers un paradis tropical afin de récolter le fruit de leur labeur. Mais un agent du FBI, qui les traque depuis sept ans, est convaincu que les cambrioleurs s'apprêtent à dérober un des plus gros diamants du monde à bord de leur croisière...
Pendant que les personnages du dessin animé Le Gros Albert passent à la télévision, les larmes d'une téléspectatrice en détresse les font miraculeusement apparaître en personnes. Le Gros Albert, qui est toujours prêt à régler les problèmes des autres, connaîtra de nombreuses aventures dans sa nouvelle vie, mais ses amis et lui devront faire vite avant de disparaître de la réalité et retourner dans leur monde en deux dimensions.
Dahlia Williams (Jennifer Connelly) commence une nouvelle vie : nouvellement séparée, avec un nouveau travail et un nouvel appartement, elle est déterminée à tourner la page sur son passé et donner à sa fille Ceci la meilleure éducation qui soit. Mais elle aura à se battre pour la garde de sa fille, et c'est là que sa situation commence à se compliquer. Son nouvel appartement, délabré, exigu et vieux, semble avoir une vie qui lui est propre. Des bruits mystérieux, des fuites persistantes d'un liquide foncé et d'étranges événements viennent la hanter, et elle tentera par tous les moyens de résoudre le mystère qui se cache derrière ces incidents inhabituels. Alors que Dahlia recherche désespérément le lien qui relie ces énigmes, l'eau trouble semble vouloir se refermer sur elle. Mais une chose est certaine, rien au monde n'arrêtera Dahlia de trouver la clé du mystère.
Un loup-garou perdu dans Los Angeles transforme la vie de trois adolescents, qui après avoir été infectés par la bête apprennent qu'ils doivent tuer le monstre à l'origine de leur mal pour espérer changer leur destin.
Terrassé par une horrible tragédie lors d'une mission qui a mal tourné, Jeff Talley (Bruce Willis), ancien négociateur du LAPD, décide de quitter son poste et d'accepter celui de chef du bureau de police d'une petite ville reculée. Mais, malgré la tranquillité apparente de cette petite ville, trois repris de justice prennent une famille en otage. Dès lors, le cauchemar vécu deux ans auparavant par l'officier recommence...
À la suite d'un écrasement d'avion dans le désert Mongolien, les survivants se rassemblent et tentent de construire un nouvel avion afin de s'échapper de cet endroit inhospitalier.
In delivering PG-13-rated excitement, Alien vs. Predator is an acceptably average science-fiction action thriller with some noteworthy highlights, even if it squanders its opportunity to intelligently combine two popular and R-rated franchises. Rabid fans can justifiably ask Is that all there is? after a decade of development hell and eager anticipation, but we're compensated by reasonably logical connections to the Alien legacy and the still-kicking Predator franchise (which hinted at AVP rivalry at the end of Predator 2); some cleverly claustrophobic sets, tense atmosphere and impressive digital effects; and a climactic AVP smackdown that's not half bad. This disposable junk should've been better, but nobody who's seen Mortal Kombat or Resident Evil should be surprised by writer-director Paul W.S. Anderson's lack of imagination. As a brisk, 90-minute exercise in generic thrills, however, Anderson's work is occasionally impressive... right up to his shameless opening for yet another sequel.
Le poste 13 de la police de Detroit vit ses dernières heures alors que le personnel, réduit à trois employés, fête l'arrivée du nouvel an autour du sergent Jake Roenick, qui traverse une mauvaise passe. Entre-temps, le chef de l'escouade antigang Marcus Duvall capture le caïd Marion Bishop. Mais à cause d'une tempête de neige, le convoi armé qui transporte Bishop et trois autres prisonniers ne peut se rendre jusqu'au centre de détention et n'a d'autre choix que de s'arrêter au poste 13. Or, peu après, des individus masqués attaquent et assiègent l'endroit dans le but évident de tuer Bishop et tous les occupants. Confrontés à la puissante force de frappe de ces assaillants, les policiers et les prisonniers doivent s'unir pour se défendre.
Season Four of SMALLVILLE saw the major characters all beginning to make the transition from adolescence to adulthood, reflecting the beginnings of the show itself to begin the transition to the next level. The fundamental challenge for the show has been to reinvent the Superboy years by conceiving Clark Kent as a work in progress, a profoundly gifted young man gradually gaining use of and control over powers that makes him utterly unique but also alienates him from his friends by the need to keep his abilities secret. During each season he has discovered new abilities, first X-ray vision, then heat vision, then super hearing to go with the super strength, speed, and invulnerability that he has long possessed. Plus the hints of the impending ability to fly. The difference between SMALLVILLE and the Superboy comics I read growing up is that the latter were always utterly ahistorical, intentionally oblivious to everything that would take place for the adult Clark Kent. There was Lana Lang, but no reflection on how things would go with them, how they would fail to forge a permanent attachment, how Clark would later focus his attention on Lois Lane instead. To its credit, SMALLVILLE has always proceeded with one eye cocked towards the future. In this season, the show began what could be a metamorphosis into a more mature show. I would not at all be surprised if in the next year or so SMALLVILLE were cancelled and a new show, perhaps called METROPOLIS, would be taking its place, with a small number of characters making the transition to the new show: Clark, Lex, Lionel, Lois, and perhaps Chloe, with guest appearances by some Smallville regulars. I've thoroughly enjoyed the four seasons of SMALLVILLE, but my own belief is that they are coming close to exhausting the possibilities in the story of Clark Kent's youth in Smallville. Hopefully they will take the story to the next level. Bit by bit they have added elements of the future to the show, and this persisted into Season Four's finale, with Clark stranded in a frozen region with a mysterious power crystal. I think all fans of Superman will be utterly shocked if we don't see the creation of the Fortress of Solitude (which has ironically been the name of Clark's barn loft for the first four seasons) in Season Five's first episode. And being so far from home, is it unreasonable to assume that he will add the ability to fly at will in Season Five (the flying sequences in the first episode of the season were, by the way, absolutely stunning, far surpassing the flying sequences in the Christopher Reeve films from the seventies and eighties).
Though this was another good season, it was perhaps less consistent than the two previous ones. The season was hurt by two things: 1) a number of weak episodes and 2) a dismal storyline in which Lana Lang somehow channeled the spirit of a dead 17th century French sorceress. It wasn't just that Lana's possession was a bad idea, it didn't lead to any great resolution. As much as I enjoy Kristin Kreuk aka The Cutest Young Woman in the World as Lana, she simply doesn't possess the acting chops to pull off multiple persona in convincing fashion. At the end of Season Three Lana went to Paris for a vacation, and while there picked up a boyfriend, who predictably met her to manipulate her into serving a sinister purpose (in the very first episode of the season, when I saw that Jensen Ackles, who previously was best known for his role in Season Two of DARK ANGEL, I knew that he would end up being one of the season's bad guys). The good part of this plot twist was that it created some emotional distance between Clark and Lana, making the inevitable split between the two perhaps a bit easier to take in the future. Simultaneously, Erica Durance was introduced to the cast as Clark's inevitable love interest Lois Lane. These were just two of many slight changes that started scooting the series towards the future. Lex, for instance, started more and more showing his willingness to submerge his genuine affection for his friends for his own ambitious ends. In the season finale he even physically assaults Lana to forcibly take from her an object he imagines she possesses.
My favorite development in Season Four has been Chloe's discovery of Clark's superhuman abilities. Another unusually gifted individual, Alicia (the teleporting girl who first appeared in Season Three, and who returns in Season Four as a far more sympathetic and likeable character), believes that she will be more accepted if others realize that Clark also has extraordinary abilities, and abducts Chloe so that she can witness Clark's response to an emergency. The result is a marvelous sequence in which Clark catches a car that is spinning through the air, with a cutaway to Chloe's utterly stunned expression, as she tries to comprehend the incomprehensible. In the earlier seasons, as Clark has struggles with the question of whether or if he can share his secret with his friends, he has clearly been afraid that if Chloe knew, she would not merely write the story for the Torch, but would take it to the Daily Planet. Instead, without even a trace of an inner struggle as to what she should do, Chloe keeps Clark's secret, not even revealing to him that she knows it. Her affection for Clark in fact grows, as she understands the enormous pressure his secret creates in his life. Her reaction to his secret has been one of the loveliest touches in the show, not least because she seems completely immune to the temptation to reveal his secret to the world. Clark just doesn't know what a great friend he has in her.
I look forward to Season Five. This is clearly a show that is on the verge of exhausting its concept, and I'm profoundly sceptical that they can continue it beyond the coming season. I hope that the show's producers and the WB can negotiate bringing this show to a graceful conclusion and then transitioning several key characters to a new show that continues the adventures of everyone's favorite Man of Steel in the big city of Metropolis.
L'adaptation sur grand écran du comic-book de Frank Miller. Un univers sombre peuplé d'individus plus déjantés les uns que les autres, parmi lesquels sont Hartigan, un flic chargé de protéger la strip-teaseuse Nancy, et Marv, une montagne de muscles décidée à venger la mort de sa petite amie.
La vie de Jonathan Rivers (Michael Keaton) est bouleversée par la mystérieuse disparition et la mort de sa femme Anna (Chandra West). Lorsqu'un homme contacte Jonathan et lui indique qu'il a reçu des messages de Anna par l'entremise d'appareils électroniques, ce dernier est sceptique au début, mais par la suite il découvre que ces messages sont authentiques. Il devient alors obsédé par le phénomène mais la communication prend une tournure inquiétante alors qu'il reçoit d'autres messages beaucoup plus menaçants en provenance de l'au-delà...
La saison 2 de l'excellente série de Piller & son est une suite ininterrompue de variations autour des visions et des flashs d'un homme-caméra, le médium Johnny Smith. Ce n'est pas la première fois que je vante ici les milles et une vertus de cette série : acteurs surdoués, photo somptueuse, B.O en or (générique reprenant un titre rare de Jeff Buckley, New Year's Prayer, et une musique originale à pleurer de Roy Hay), et enfin intrigues en abymes qui ne cessent d'explorer les talents de visionnaire du héros. Ici le bullet time n'est pas une coquetterie numérique grotesque, mais un véritable procédé narratif visuel, faisant du téléspectateur un témoin occulaire privilégié, la narration n'en est que plus labyrinthique, les voies du scénario bifurquent et vont tout droit là où l'on ne les attendait pas. Les visions de John Smith influent sur ses pulsions et inversement, ce n'est pas un magicien encore moins un sorcier, c'est un homme cognitif, l'anti-Oedipe. Et voilà peut-être son drame : à tout voir on ne vit plus. Pour preuve, le splendide épisode Déjà Voodoo (inspiré d'Un jour sans fin) où notre homme sait déjà que s'il embrasse la magnifique Reiko Aylesworth (déjà vue dans 24) à la fin de la soirée, elle finira indibutablement par mourir d'une balle dans le ventre, ou bien par gâcher sa vie. Alors, et c'est ce qui fait de Mr Smith un héros : il préferra suivre ses visions, restreindre ses pulsions, ne pas la toucher... comme une caméra, comme un film : on regarde mais on ne touche pas... La laissant partir, il lui sauve alors la vie. Ainsi tel Orphée qui s'est retourné et qui a perdu son Eurydice : il a vu, vu l'invisible éclatant, le rien sublime, la lumière derrière l'écran. Maudit privilège du visionnaire dans un monde d'aveugles et de sourds.
Lorsque son meilleur ami, Charles Fiske, trouve la mort au cours d'une enquête sur une mystérieuse île Shadow Island, située au large de Boston, le détective Edward Carnby (Christian Slater) décide alors de continuer l'enquête. Sur place, il fera équipe avec Aline Cedrac (Tara Reid) une jeune anthropologiste spécialiste des langues anciennes car l'objet de l'enquête est de retrouver de mystérieuses tablettes gravées d'inscriptions non déchiffrées à ce jour.
Toute sa vie, Benjamin Franklin Gates (Nicolas Cage) a recherché le trésor que tout le monde croyait inexistant : à travers le temps et les continents, il serait devenu le plus gros trésor que le monde ait connu. Occulté par nos pères fondateurs, ceux-ci ont laissé des indices apparents pour retrouver le trésor...du lieu de naissance de la nation jusqu'au Capitol, en passant par les indices sur les symboles figurant sur les dollars.
Le voyage à vie de Gates le mène jusqu'à l'ultime place où personne n'a pensé regarder : une carte se trouvant à l'endos de la Déclaration de l'Indépendance. Mais ce qu'il croyait être le dernier indice n'est en fait que le commencement. Afin de protéger le trésor le plus précieux du monde, Gates doit réaliser l'impensable : faire main basse sur le document le mieux protégé de l'histoire de l'Amérique avant que celui-ci ne tombe dans de mauvaises mains.
Dans une course contre la montre, Gates doit contourner les autorités, se tenir un pas en avant de son impitoyable adversaire (Sean Bean), déchiffrer les derniers indices et délivrer le mystère vieux de 2000 ans qui se cache derrière le plus grand trésor national.
À la fin de la quatrième année de diffusion, le tueur en série Pierre-Paul Tétreault a été arrêté. Cet homme énigmatique, psychopathe inquiétant, est maintenant sous bonne garde à l'Institut Philippe-Pinel. Après la vengeance et la honte, Fortier affronte maintenant un sentiment inconnu propre à toute renaissance. Elle doit redonner un sens à sa vie dans un environnement qui, parfois, tient davantage de l'absurde.
It's not the scary hit that The Ring was in 2002, but The Grudge makes a similarly convincing case for American remakes of popular Japanese horror films. Barely a year passed between the release of Takashi Shimizu's creepy ghost story Ju-On: The Grudge and the production of this American remake, set in Tokyo and starring Sarah Michelle Gellar in her first post-Buffy horror film. About the only significant difference between the two films is the importing of a mostly-American cast (including Bill Pullman, Clea DuVall and Grace Zabriskie), but The Grudge was reconfigured (by screenwriter Stephen Susco) to allow Shimizu to refine and improve the spookiest highlights of his earlier version, which enjoyed previous incarnations as a short film and two made-for-Japanese-video features. Surprising box-office analysts with a $40 million opening weekend, The Grudge may disappoint hard-core horror fans because it lacks gore and graphic violence, but as a creepy tale about a very haunted house, it's guaranteed to send a few chills up your spine.
Pour le commissaire Pierre Niemans (Jean Reno), l'homme retrouvé emmuré dans un monastère de Lorraine n'est pas une victime comme les autres. Les signes ésotériques gravés autour de lui et l'étrange rituel de son sacrifice annoncent bien autre chose... Lorsque Reda, jeune capitaine de la police, découvre l'exact sosie du Christ à demi mort au pied d'une église, il croit d'abord avoir sauvé un illuminé. Mais rapidement, il va s'apercevoir que cette affaire est liée à celle de Niemans, dont il fut l'élève à l'école de police...
Un jeune homme est obsédé par une entité qui, lors d'une nuit d'enfance, a aspiré son père dans le placard de sa chambre sans qu'il en ressorte jamais. Terrifié par la notion que malgré ses précautions, le boogeyman n'attend que l'occasion propice pour s'emparer de lui, il décide de l'affronter dans la vieille maison familiale et de vaincre enfin sa terreur, ou d'y succomber...
While setting a milestone in the progress of digital filmmaking, Sky Captain and the World of Tomorrow resurrects a nostalgic fantasy world derived from a wide variety of vintage inspirations. It's a dazzling dream for anyone who appreciates the look and feel of golden-age sci-fi pulp magazines, drawing its unique, all-digital design from such diverse sources as Howard Hawks adventures, Fritz Lang's Metropolis, Buck Rogers, Blackhawk comics, The Third Man, cliffhanger serials, and the action-packed Indiana Jones franchise. Writer-director Kerry Conran's feature debut is also guaranteed to inspire digital dreamers everywhere, suggesting a paradigm shift in the way CGI-dominated movies are made. It's a giddy adventure for the young and young-at-heart, in which ace pilot Sky Captain Joe Sullivan (Jude Law) and intrepid reporter Polly Perkins (Gwyneth Paltrow) must save the world from a mad scientist whose vision of the future has tragic implications for all humankind. Angelina Jolie drops in for a glorified cameo, but it's the ultra-fortunate neophyte Conran who's the star here. His clever riff on The Wizard of Oz is a marvel to behold, and the method of its creation is nothing less than revolutionary.
John Constantine (Keanu Reeves) est doué d'une aptitude dont il ne peut se départir : celle de distinguer les démons et les anges qui peuplent la Terre sous forme humaine. Il a fait un aller retour aux enfers après avoir tenté de se suicider pour échapper à cette troublante vision, mais il fut ressuscité contre son gré. Il patrouille maintenant les frontières entre le paradis et l'enfer en combattant les forces du mal dans l'espoir de gagner sa rédemption. Ce faisant, il doit aider Katelin Dodson (Rachel Weisz), une femme policière incrédule, à lever le voile sur le suicide mystérieux de sa soeur jumelle.