Malgré sa paralysie, Jake Sully, un ancien marine immobilisé dans un fauteuil roulant, est resté un combattant au plus profond de son être. Il est recruté pour se rendre à des années-lumière de la Terre, sur Pandora, où de puissants groupes industriels exploitent un minerai rarissime destiné à résoudre la crise énergétique sur Terre. Parce que l'atmosphère de Pandora est toxique pour les humains, ceux-ci ont créé le Programme Avatar, qui permet à des pilotes humains de lier leur esprit à un avatar, un corps biologique commandé à distance, capable de survivre dans cette atmosphère létale. Ces avatars sont des hybrides créés génétiquement en croisant l'ADN humain avec celui des Na'vi, les autochtones de Pandora.
Sous sa forme d'avatar, Jake peut de nouveau marcher. On lui confie une mission d'infiltration auprès des Na'vi, devenus un obstacle trop conséquent à l'exploitation du précieux minerai. Mais tout va changer lorsque Neytiri, une très belle Na'vi, sauve la vie de Jake...
Royce, un mercenaire, se retrouve obligé de mener un groupe de combattants d'élite sur une planète étrangère. Ils vont vite comprendre qu'ils ont été rassemblés pour servir de gibier. A une exception près, tous sont des tueurs implacables - des mercenaires, des yakuzas, des condamnés, des membres d'escadrons de la mort ; des « prédateurs » humains qui sont à présent systématiquement traqués et éliminés par une nouvelle génération de Predators extraterrestres. Voici l'affrontement sans pitié de tueurs absolus?
Dom Cobb est un voleur expérimenté - le meilleur qui soit dans l'art périlleux de l'extraction : sa spécialité consiste à s'approprier les secrets les plus précieux d'un individu, enfouis au plus profond de son subconscient, pendant qu'il rêve et que son esprit est particulièrement vulnérable. Très recherché pour ses talents dans l'univers trouble de l'espionnage industriel, Cobb est aussi devenu un fugitif traqué dans le monde entier qui a perdu tout ce qui lui est cher. Mais une ultime mission pourrait lui permettre de retrouver sa vie d'avant - à condition qu'il puisse accomplir l'impossible : l'inception. Au lieu de subtiliser un rêve, Cobb et son équipe doivent faire l'inverse : implanter une idée dans l'esprit d'un individu. S'ils y parviennent, il pourrait s'agir du crime parfait. Et pourtant, aussi méthodiques et doués soient-ils, rien n'aurait pu préparer Cobb et ses partenaires à un ennemi redoutable qui semble avoir systématiquement un coup d'avance sur eux. Un ennemi dont seul Cobb aurait pu soupçonner l'existence.
Clive et Elsa sont autant amoureux l'un de l'autre que de leur travail. Superstars de la science, célèbres pour avoir combiné l'ADN de différents animaux, ils créent de fantastiques créatures hybrides et veulent désormais fusionner de l'ADN animal et de l'ADN humain. Lorsque le laboratoire pharmaceutique qui les finance refuse de les soutenir, ils décident d'ignorer les limites légales et éthiques de leur profession et poursuivent en secret leurs expériences : Ils créent Dren, une créature étonnante à la croissance rapide, qui finira par dépasser leurs rêves les plus fous... et leurs pires cauchemars.
Il y a vingt-huit ans, des extraterrestres entrèrent en contact avec la Terre...Ces visiteurs d'au-delà des étoiles étaient des réfugiés et furent installés dans le District 9, en Afrique du Sud, pendant que les nations du monde se querellaient pour savoir quoi en faire...Depuis, la gestion de la situation a été transférée au MNU (Multi-National United), une société privée qui n'a pas grand-chose à faire du sort de ces créatures, mais qui fera d'énormes bénéfices si elle arrive à faire fonctionner leur extraordinaire armement. Jusqu'à présent, toutes les tentatives ont échoué : pour que les armes marchent, il faut de l'ADN extraterrestre. La tension entre extraterrestres et humains atteint son maximum lorsque le MNU commence à évacuer les non-humains du District 9 vers un nouveau camp, en envoyant des agents de terrain s'occuper de leur transfert. L'un de ces agents, Wikus van der Merwe, contracte un virus extraterrestre qui se met à modifier son ADN. Wikus est à présent l'homme le plus recherché de la planète, celui qui vaut plus qu'une fortune : il est la clé qui permettra de percer le secret de la technologie alien.Repoussé, isolé, sans aide ni amis, il ne lui reste qu'un seul endroit où se cacher : le District 9...
Une nouvelle Porte des étoiles découverte dans la cité perdue d'Atlantis, au milieu des glaces de l'Antarctique, devient la nouvelle base secrète de l'armée.
L'équipe Stargate : Atlantis a pour mission d'explorer la galaxie Pegase, où de nombreuses planètes ont été peuplées par la civilisation humaine qui vivait autrefois dans la cité d'Atlantis. Dans cet univers encore inconnu de la Terre, la nouvelle équipe d'explorateurs rencontrera un nouvel ennemi craint de tous : The Wraith...
En 2018, après l'apocalypse qui a vu s'affronter les hommes et les robots, John Connor est devenu le chef de la résistance humaine contre Skynet et son armée de Terminators. Sa vision du monde est pourtant remise en cause par l'apparition de Marcus Wright, un inconnu qui se souvient seulement de s'être trouvé dans le quartier des condamnés à mort. Connor doit découvrir si Marcus a été envoyé du futur ou s'il est un rescapé du passé. Alors que Skynet prépare l'assaut final, Connor et Marcus s'engagent dans une odyssée qui va les mener au coeur même des opérations de Skynet. Ils y perceront le terrible secret qui se cache derrière l'annihilation programmée de l'humanité tout entière...
La plus grande odyssée spatiale de tous les temps voit le jour dans le nouveau Star Trek, mettant en scène le premier voyage d'un tout nouvel équipage à bord de l'U.S.S. Enterprise, le vaisseau spatial le plus sophistiqué de l'histoire.
Dans ce périple semé de dangers, d'action et d'humour, les nouvelles recrues doivent tout faire pour empêcher le plan diabolique d'un être maléfique menaçant l'humanité toute entière dans sa quête de vengeance.
Le sort de la galaxie est entre les mains de deux officiers que tout oppose : d'un côté, James Kirk, originaire de la rurale IOWA, tête brulée en quête de sensations fortes, de l'autre, Spock, issu d'une société basée sur la logique et rejetant toute forme d'émotion. Quand l'instinct fougueux rencontre la raison pure, une improbable mais puissante alliance se forme et sera seule en mesure de faire traverser à l'équipage d'effroyables dangers, là où personne n'est encore jamais allé.
Il y a maintenant plus de dix ans que le monde a explosé. Personne ne sait ce qui s'est passé. Ceux qui ont survécu se souviennent d'un gigantesque éclair aveuglant, et puis plus rien. Plus d'énergie, plus de végétation, plus de nourriture... Les derniers survivants rôdent dans un monde dévasté et couvert de cendre qui n'est plus que l'ombre de ce qu'il fut. C'est dans ce décor d'apocalypse qu'un père et son fils errent en poussant devant eux un caddie rempli d'objets hétéroclites - le peu qu'ils ont pu sauver et qu'ils doivent protéger. Ils sont sur leurs gardes, le danger guette. L'humanité est retournée à la barbarie. Alors qu'ils suivent une ancienne autoroute menant vers l'océan, le père se souvient de sa femme et le jeune garçon découvre les restes de ce qui fut la civilisation. Durant leur périple, ils vont faire des
rencontres dangereuses et fascinantes. Même si le père n'a ni but ni espoir, il s'efforce de rester debout pour celui qui est désormais son seul univers.
Le scientifique Bruce Banner est un homme qui a toujours vécu dans l'ombre à parcourir la planète à la recherche d'un antidote contre la rage débridée qui l'habite: le Hulk. Quand des stratèges militaires qui rêvent d'exploiter ses pouvoirs le forcent à retourner à la civilisation, il se retrouve confronté à son plus grand ennemi: l'Abomination - une bête cauchemardesque d'une agressivité absolue dont les pouvoirs s'apparentent à ceux de Hulk. L'affrontement final ne peut être résumé qu'en un seul mot... Incroyable!
Une guerre sans merci oppose depuis des temps immémoriaux deux races de robots extraterrestres : les Autobots et les cruels Decepticons. Son enjeu : la maîtrise de l'univers...
Dans les premières années du 21ème siècle, le conflit s'étend à la Terre, et le jeune Sam Witwicky devient, à son insu, l'ultime espoir de l'humanité. Semblable à des milliers d'adolescents, Sam n'a connu que les soucis de son âge : le lycée, les amis, les voitures, les filles...
Entraîné avec sa nouvelle copine, Mikaela, au coeur d'un mortel affrontement, il ne tardera pas à comprendre le sens de la devise de la famille Witwicky : Sans sacrifice, point de victoire !
Une nouvelle Porte des étoiles découverte dans la cité perdue d'Atlantis, au milieu des glaces de l'Antarctique, devient la nouvelle base secrète de l'armée.
L'équipe Stargate : Atlantis a pour mission d'explorer la galaxie Pegase, où de nombreuses planètes ont été peuplées par la civilisation humaine qui vivait autrefois dans la cité d'Atlantis. Dans cet univers encore inconnu de la Terre, la nouvelle équipe d'explorateurs rencontrera un nouvel ennemi craint de tous : The Wraith...
Une nouvelle Porte des étoiles découverte dans la cité perdue d'Atlantis, au milieu des glaces de l'Antarctique, devient la nouvelle base secrète de l'armée.
L'équipe Stargate : Atlantis a pour mission d'explorer la galaxie Pegase, où de nombreuses planètes ont été peuplées par la civilisation humaine qui vivait autrefois dans la cité d'Atlantis. Dans cet univers encore inconnu de la Terre, la nouvelle équipe d'explorateurs rencontrera un nouvel ennemi craint de tous : The Wraith...
Une nouvelle Porte des étoiles découverte dans la cité perdue d'Atlantis, au milieu des glaces de l'Antarctique, devient la nouvelle base secrète de l'armée.
L'équipe Stargate : Atlantis a pour mission d'explorer la galaxie Pegase, où de nombreuses planètes ont été peuplées par la civilisation humaine qui vivait autrefois dans la cité d'Atlantis. Dans cet univers encore inconnu de la Terre, la nouvelle équipe d'explorateurs rencontrera un nouvel ennemi craint de tous : The Wraith...
Une nouvelle Porte des étoiles découverte dans la cité perdue d'Atlantis, au milieu des glaces de l'Antarctique, devient la nouvelle base secrète de l'armée.
L'équipe Stargate : Atlantis a pour mission d'explorer la galaxie Pegase, où de nombreuses planètes ont été peuplées par la civilisation humaine qui vivait autrefois dans la cité d'Atlantis. Dans cet univers encore inconnu de la Terre, la nouvelle équipe d'explorateurs rencontrera un nouvel ennemi craint de tous : The Wraith...
In delivering PG-13-rated excitement, Alien vs. Predator is an acceptably average science-fiction action thriller with some noteworthy highlights, even if it squanders its opportunity to intelligently combine two popular and R-rated franchises. Rabid fans can justifiably ask Is that all there is? after a decade of development hell and eager anticipation, but we're compensated by reasonably logical connections to the Alien legacy and the still-kicking Predator franchise (which hinted at AVP rivalry at the end of Predator 2); some cleverly claustrophobic sets, tense atmosphere and impressive digital effects; and a climactic AVP smackdown that's not half bad. This disposable junk should've been better, but nobody who's seen Mortal Kombat or Resident Evil should be surprised by writer-director Paul W.S. Anderson's lack of imagination. As a brisk, 90-minute exercise in generic thrills, however, Anderson's work is occasionally impressive... right up to his shameless opening for yet another sequel.
Ray Ferrier est un père divorcé qui n'entretient pas de liens avec sa famille. Un week-end, alors qu'il a la garde de ses enfants, le monde se fait brutalement attaquer par une force inconnue. Une hystérie collective s'installe lorsque la race humaine réalise que la Terre se fait envahir par des extraterrestres. Ray fera tout ce qu'il peut pour protéger ses enfants pendant que les terriens se regroupent pour combattre un ennemi supérieur venu d'un autre monde.
This version of the classic story picks up from where the 1976 version left off. The mighty ape is resurrected through a miracle of modern medicine and brings him together with what will be the equally terrifying love of his life: Lady Kong...
Phrase centrale de ce film, « tout ce qui a un début a une fin » ? Et ce qui a débuté avec le phénomène Matrix se termine avec la sortie de cette édition DVD, Revolution qui conclue cette trilogie.
Si le premier opus traitait de la naissance, le second de la vie, ce troisième volet traite implicitement de la mort, et des choix qui conditionnent ce passage.
Matrix Reloaded, malgré un obscurantisme certain dans les idées philosophiques abordées avait la force d'ouvrir de très nombreuses pistes que nous espérions voir aboutir dans ce dernier volet. Revolutions, bien que souffrant de nombreux problèmes réussit tout de même à concrétiser et consolider les thèmes abordés, finissant réellement cette série, tant d'un point de vu narratif que « philosophique ».
Le film débute abruptement au moment précis ou le second volet se terminait (en ce sens, un petit rafraichissement de mémoire n'est pas pas un luxe avant de se lancer dans ce visionnement), Neo est dans le coma suite à sa rencontre avec une Sentinelle, les machines sont aux portes de Zion et tout le monde se prépare pour un dénouement qui semble inéluctablement aller à l'éradication des derniers humains.
C'est certainement la grande surprise de ce film, qui se conclue non pas dans un dénouement manichéiste d'un vainqueur et d'un perdant, mais bien plutôt vers une rencontre, vers la paix plutôt que vers la victoire (ce qui dans ces temps agités semble être un message plutôt rafraichissant).
Les héros sont séparés en trois groupes principaux, consitués d'un côté par les résistants de la ville de Zion, de l'autre Morpheus (Lawrence Fishburne), Niobe (Jada Pinket Smith) ainsi que les membres d'équipages partis à la recherche du vaisseau de Morpheus, et enfin, Neo et Trinity qui partent vers le monde des machines. Ces trois aventures parallèles finiront par converger vers Zion et vers la paix entre les hommes et les machines, rappelant quelque part la structure narrative d'une autre trilogie. On retrouve de nombreux personnages rencontrés dans le second opus, Mérovingien (Lambert Wilson) accompagné de Persephone (Monica Bellucci), la majorité des personnages de Zion, mais aussi des personnages que l'on ne voyait qu'en cameo. On pense plus particulièrement ici à Rama Kandra (Bernard White) qui tient un rôle important dans cet opus.
Ce personnage de Rama Kandra et sa famille sont très révélateurs des prétentions de ce film. Rama Kandra, programme de la matrice, s'est « marié » avec un autre programme (Kamala) et ont eu ensemble un enfant, qui malheureusement n'a pas d'utilité directe, et est donc voué à la destruction par la matrice (l'architecte en fait, le côté ordonné, à l'opposé de l'Oracle qui est le côté désordonné). Pour sauver leur fille, Rama Kandra et sa femme vont faire un marché afin de la faire « vivre » dans le monde virtuel de la Matrice.
Ce bref passage (même si l'on revoit la petite fille plusieurs fois avec l'Oracle) impose une vision d'évolution réellement forte, ou les logiciels, tout comme Neo arrivent à une étape où la notion de choix devient centrale. Cette notion de choix est développée dans le dialogue qui se situe dans les limbes, où le logiciel Rama décrit l'amour comme une résultante logique et de connexion. L'amour est certainement un des éléments les plus simples pour différencier l'Homme de toutes autre choses, et c'est dans cette remise en cause de l'exclusivité de ces sentiments/systèmes que la paix est envisageable, dans la notion de perte et d'absence. Leur fille semble la continuité de l'Oracle, c'est elle qui va commencer à coder la matrice selon des buts « improductifs » comme on le voit à la fin du programme. Rama et sa femme sont en fait le point de départ de la paix du côté des machines, car ils ont généré le premier libre choix implanté dans la matrice elle même (ce qui est confirmé par l'oracle lors de sa discussion finale avec l'Architecte et sur la pérénité des logiciels « renégats »). Pour l'anecdote, Rama Kandra est issu de Ramachandra, septième réincarnation de Shiva, qui est celle qui libéra la terre du mal.
C'est donc encore la notion de choix qui est le centre de cet opus, confirmant en cela le décalage nécessaire que les frères Wachowskys visait. En effet, on passe de l'Élu celui qui n'a pas le choix d'être ce qu'il doit être et accomplir sa destinée à une révélation qui est celle du choix absolu. L'agent Smith qui est l'antechrist Néo, est lui la matérialisation du non choix, de la prédestination. Il est celui qui veut régulariser et conformer, et qui n'est pas capable de supporter autre chose. La question qui reste en suspend est de savoir si l'agent Smith est détruit car son assimilation de Neo a apporté en lui cette notion de changement qu'il n'est pas capable de supporter, ou si, à travers lui c'est la matrice en elle même qui a compris cette notion de choix. Cette question restera très probablement sans réponse, mais en faisant un peu de recherche sur internet, vous verrez que le volume de solution est vaste et peut vous tenir occupé un bon moment.
Si cet opus n'offre pas la complexité philosophique du second (qui en était même un peu surfait), il a le mérite d'exposer clairement les concepts abordés avant, tout en opposant deux facteurs majeurs, de la prédestination au libre choix (autrement dit de l'état de conformisme à celui de réveil de la conscience) et de la victoire unilatérale à la paix partagée et bénéfique.
Tout comme pour les deux premiers, la direction artistique est de toute beauté, et l'univers Matrix est complètement respecté. La direction artistique et la photographie sont dans la continuité de ce qui a fait des deux premiers opus un réel succès. Tour de force ou faiblesse, certains plans de Revolutions semblent des « clichés » de cette trilogie (on pense ici particulièrement à la scène du Lobby et du travail de Trinity). Cette sensation est elle liée au trop grand nombre de clônes que Matrix a généré ou bien à la limite créative que cette série portait, néanmoins cette sensation de déjà vu est bien présente. De même, les dialogues s'ils sont plus clairs (moins cryptiques) ont tous un arrière goût de déjà vu, voir même de trop vu. La scène de la mort de Trinity d'une longueur insupportable ne réussit malheureusement pas à fonctionner.
Matrix Revolution offre une conclusion efficace à une trilogie inégale en offrant un bon film d'action, mais qui malgré un potentiel ne réussit pas à faire renaître la flamme que le premier opus avait réussit à allumer. Certainement moins fluide et efficace dans les scènes d'action que le premier, moins philosophique que le deuxième Revolution reste néanmoins un film d'action aux prouesses visuelles impressionnantes, et qui peut ouvrir vers des réflexions intéressantes si on s'en donne la peine, sans jamais néanmoins réussir à « fonctionner » complètement.
C'est dans une édition deux disques d'une excellente facture que la Warner nous propose Matrix Revolutions, faisant espérer encore un peu plus une réédition du premier Opus (qui souffrait d'un transfert plutôt moyen) afin d'avoir la trilogie complète au niveau technique des deux dernières éditions.
10 ans ont passé depuis que John Connor (Stahl) a contribué à sauver l'Humanité de la destruction totale lors du Jugement Dernier. Connor qui a maintenant 25 ans, vit en marge de la société. Répertorié nulle part, il n'a aucune chance d'être filé par Skynet, le réseau électronique ultra performant des machines qui a tenté autrefois de l'éliminer et de déclarer la guerre à l'Humanité. Jusqu'à ce que sorte des limbes du futur T-X (Loken), la cyborg tueuse la plus performante jamais imaginée par Skynet. Elle a été expédiée dans le passé afin de terminer le travail laissé inachevé par son prédécesseur le T- 1000. Cette créature est aussi impitoyable que son apparence humaine est parfaite.
Après avoir exploité au maximum les effets spéciaux créés par ordinateur dans abyss, le réalisateur james cameron fait de cette suite très attendue de terminator un formidable spectacle, plein d'action et admirablement ficelé. au passage, il nous offre l'un des plus beaux spécimens de méchants invincibles jamais inventés au cinéma. terminator 2 : le jugement dernier est donc bien une suite qui se justifie. il y a encore beaucoup à raconter sur cet imposant androïde vêtu de cuir (arnold schwarzenegger). il vient du futur pour protéger un adolescent rebelle qui doit devenir un leader dans l'avenir (edward furlong) et éviter que celui-ci ne soit tué par le robot t-1000 (robert patrick), qui semble invulnérable. linda hamilton reprend son rôle de femme solide dont le fils va changer le cours de l'histoire. --jeff shannon
Au commencement narre la genèse de Babylon V. Comme souvent les ?uvres de science-fiction, l'aventure de Babylon V démarre par une guerre entre les Terriens et les Minbaris, ces deux puissances ayant leur lot habituel de dirigeants arrogants et trop sûrs de leur puissance. Ce que le passé de Babylon V nous enseigne, serait-ce que le futur ne peut naître que du malheur ? Sans cette guerre, Babylon V, station spatiale pacifique évoquant irrésistiblement l'ONU, aurait-elle pu voir le jour ? C'est bien le doute que laisse planer ce téléfilm construit en forme de flash-back, utilisant les mêmes effets spéciaux époustouflants que pour la série dont il est issu. Ce téléfilm est quasi indispensable pour détenir les clefs de Babylon V et comprendre enfin comment tout a commencé. --Aurélie Rochman
2029. Sur la station Oberon, des chimpanzés sont entraînés pour les explorations à risques. Lorsque l'un des animaux disparaît après avoir été envoyé hors de la station, Léo DAVIDSON désobéit à ses supérieurs et part lui porter secours. Mais il perd le contrôle de son vaisseau et échoue au beau milieu d'une forêt tropicale où il se fait capturer par des chimpanzés parlants. Qu'est-il arrivé sur cette planète où des singes dominent la race humaine ? Aidé de quelques rebelles et de la princesse singe Ari, il va tenter de s'évader de cette planète et de rejoindre Oberon...
It times like this that I wish Mystery Science Theater 3000 was still on cable, attacking bad movies with sharp, intelligent humor. If ever a recent film deserved the caustic lampooning of Crow, Servo and Mike, it would have to be Reptilian. A throwback to the Japanese giant monster movies of the early 1960s, Reptilian is littered with comically stiff acting and laughable plot points. This is the type of film where there are unitentionally hilarious exclamations and odd lines of dialogue that constantly had me reaching for the remote to replay as I wiped the tears of laughter from my eyes.
Before I dig Reptilian too deep of a hole, I should at least commend screenwriter Marty Poole for not being afraid to load the film with lots of potential content. In the scant space of 95 minutes, there were two giant monsters, an alien spaceship, aliens, soldiers in flying jetpacks, ancient hieroglyphics, atomic fireballs, teleportation beams, magic diamonds, dozens of exploding skyscrapers, a city in ruin...oh yeah, and a bus full of children in peril. Roland Emmerich and his obscene budget for 1998's dud Godzilla could have used Poole to liven things up.
If I were to try to explain Reptilian logically, one might be apt to check my breath for excessive alchohol fumes. Not content with simply unearthing an angry, old creature (a la Godzilla), the beast in here, whose name is Yongarry, begins the film as a skeleton. Dug up by an excavation team led by wild-eyed hambone, Dr. Campbell (Richard B. Livingston), the massive skeleton is soon re-animated by a beam from a huge alien spacecraft hovering above Earth, in fulfillment of some ancient prophecy. The aliens LOOSELY resemble the metal skeleton of The Terminator, and vocalize in that typical booming computerized basso that cartoon bad guys speak in. And it's in English, too!
The big beast commences to destroying a city that I THINK is supposed to be New York, though it's only referred to as the city. Basically a CG creation, and not half bad at that, Yongarry looks a cross between Godzilla and something that might have appeared on the Power Rangers. The fighter plane sequence in the middle of the city looks OK at times and horrible at others. Buildings explode and collapse, mostly due to poorly aimed missiles, but Yongarry does his fair share of exhaling fireballs that can blast through two or three skyscrapers at a time.
I won't even attempt to dissect the cast. All the characters are flat and lifeless, and utter silly lines of dialogue far too often. So let's not over analyze. The whole point of a film like this is to see a big monster destroy things, and director Hyung Rae Shim gives us that in spades. Sure, some of the effects look like a bad computer game, but for the most part they were consistently mediocre. That is meant as a compliment, Hyung. I wasn't expecting Jurassic Park quality CG, and I wasn't disappointed.
Reptilian's tagline is Bigger. Badder. Meaner., which is in obvious reference to Emmerich's Godzilla, as the cover art would indicate. Yongarry does do some major destruction in a short amount of time, much more than big G. Yet when saddled with bad acting and less than perfect effects, the whole package ends up as the entertainment equivalent of a pissed-off iguana.
Avant de mourir, le savant zane zaminsky a envoyé à plusieurs personnes les preuves qu'il avait réunies d'un projet d'invasion de la terre par une puissance extra-terrestre. convoqués à un mystérieux rendez-vous, ces différents destinataires comprennent alors que la planète est menacée de destruction totale, et qu'ils sont les seuls à pouvoir la sauver...
Dans un avenir proche, un pirate de l'informatique du nom de neo, découvre par morpheus que la réalité n'est qu'une immense simulation créée par la matrice, réduisant l'espèce humaine en esclavage. pour morpheus le doute n'est plus permis: neo est l'élu ce libérateur myhtique capable de mettre en échec la matrice et ses féroces agents. la prophétie est sur le point de se réaliser, la lutte va pouvoir commencer...
Après avoir échappé à une terrible tempête, l'équipage d'un navire de commerce découvre en plein océan un immense vaisseau scientifique russe... une entité extraterrestre s'est introduite sur le vaisseau et à exterminé tout l'équipage. commence alors une angoissante lutte à mort contre cette force terrifiante venue de l'espace.
New-york. le dr susan tyler stoppe avec l'aide de son mari le dr peter mann une épidémie propagée par des insectes. mais en manipulant leur codes génétiques, elle crée une espèce mutante, la race des judas. après s'être développés pendant trois ans dans le sous-sol de la ville, ils sont prêts à vivre à la surface. new-york devient leur terrain de chasse...
2050 : la terre est proche de l'asphyxie. seule solution : coloniser alpha prime, la planète habitable la plus proche. la famille robinson devra s'unir pour faire face aux pires dangers et accomplir leur mission...