Ceux qui ont adoré le premier Charlie et ses drôles de dames aimeront à n'en pas douter le second qui reprend exactement les mêmes recettes. Comme le précédent, celui-là est ouvertement référentiel, truffé de nombreuses allusions à des films comme Les Blues Brothers ou Les Aventuriers de l'arche perdue, sans parler de la série des James Bond ou des deux Mission impossible. Emmenées à un train d'enfer, nos drôles de dames aux atours sexy sont mises à rude épreuve, non sans humour : cascades acrobatiques, combats influencés par le cinéma made in Hong-Kong (une mode d'ailleurs récurrente depuis Kill Bill de Quentin Tarantino), costumes excentriques, poursuites extrêmes, dont une scène de moto-cross d'anthologie, tous les ingrédients ont été réunis pour faire de Charlie's Angels 2 : les anges se déchaînent un spectacle qu'on regarde sans bouder son plaisir. L'intrigue est mince (deux anneaux réunis livrent la liste des ennemis du gangstérisme international, or ils ont été dérobés), mais qui s'en soucie ? Cela va vite, très vite, les bastons s'enchaînant à la vitesse de l'éclair. Les bonus, en forme de making of, reviennent évidemment sur toutes ces séquences. Parmi eux, l'un des plus originaux - c'est suffisamment rare pour être remarqué - s'attarde sur le travail musical de John Houlihan.
L'agent secret Jonathan Cold a un dernier contrat à effectuer: transporter et livrer en mains propres un paquet à Monsieur Van Haken. Mais il faudra déjouer les nombreux tueurs lancés à sa poursuite qui veulent récupérer le fameux colis.
Dans une pittoresque ville de Pennsylvanie, on fête tous les ans le Grounding day ou Jour de la Marmotte. Le journaliste Phil est chargé de couvrir l'évènement. Il se rend à contre-coeur dans cette petite ville, mais il ne s'attend pas à y revivre la même journée indéfiniment...
Après avoir exploité au maximum les effets spéciaux créés par ordinateur dans abyss, le réalisateur james cameron fait de cette suite très attendue de terminator un formidable spectacle, plein d'action et admirablement ficelé. au passage, il nous offre l'un des plus beaux spécimens de méchants invincibles jamais inventés au cinéma. terminator 2 : le jugement dernier est donc bien une suite qui se justifie. il y a encore beaucoup à raconter sur cet imposant androïde vêtu de cuir (arnold schwarzenegger). il vient du futur pour protéger un adolescent rebelle qui doit devenir un leader dans l'avenir (edward furlong) et éviter que celui-ci ne soit tué par le robot t-1000 (robert patrick), qui semble invulnérable. linda hamilton reprend son rôle de femme solide dont le fils va changer le cours de l'histoire. --jeff shannon
Peter PARKER (Tobey MAGUIRE), un jeune adolescent brillant mais mal dans sa peau, n'arrive pas à se faire accepter des autres élèves. Il vit chez sa tante et son oncle et est très épris de sa voisine Mary Jane (Kirsten DUNST). Sa vie va être bouleversée lors d'une sortie scolaire dans un centre scientifique. Mordu par une araignée mutante, Peter se découvre d'étranges super-pouvoirs. Il se transforme alors en Spider-man et part en guerre contre...
Révélés par Fast and Furious, le réalisateur Rob Cohen et l'acteur Vin Diesel remettent le feu aux poudres avec ce film qui révolutionne le petit monde de l'espionnage cinématographique et relègue l'agent 007 au rang de retraité poussif. Xander Cage aime les sensations fortes et les sports extrêmes, bravant les interdits et échappant, à chaque exploit, à la police. Jusqu'au jour où il se fait avoir et est obligé de collaborer avec la NSA pour éviter la prison. Sa mission : infiltrer un gang de fous furieux à Prague. L'histoire est simple mais le traitement donne un sérieux coup de jeune au genre car Xander Cage est fun et ne pense qu'à s'amuser. Cet espion qui n'a pas froid aux yeux est incarné par Vin Diesel, acteur à l'incroyable charisme et à la carrure impressionnante. Aussi crédible dans les très nombreuses scènes d'action que dans les face-à-face avec Asia Argento, il apporte une décontraction au rôle qui fait du personnage un héros des temps modernes. Quand à Rob Cohen, il nous a déjà montré avec Fast and Furious qu'il sait parfaitement mener un film d'action sur les chapeaux de roues et renouvelle l'exploit de la recette action/humour avec XxX.
Avec Panic Room, Jodie Foster se renouvelle une fois encore et change de registre pour s'investir dans ce huis clos oppressant réalisé par David Fincher. Il nous livre une histoire tout ce qu'il y a de plus classique, au scénario bien mince, mais rehaussée par une tension bien souvent insoutenable. Meg Altman et sa fille emménagent dans une nouvelle demeure ayant appartenu à un riche homme d'affaires obsédé par la sécurité. Lorsque trois cambrioleurs s'introduisent dans la maison à la recherche d'un trésor caché, elles se réfugient dans une pièce réputée inviolable. Les malfaiteurs cherchent alors à les faire sortir par tous les moyens de cette chambre renfermant leur précieux butin. Si les ficelles employées ici pour nous faire frémir sont dignes des cordages utilisés sur un galion, la confrontation du joli minois angoissé de Jodie Foster et du visage placide mais déterminé de Forest Whitaker nous aide à entrer dans l'histoire pour finalement marcher à fond. Les méchants sont très méchants mais surtout complètement débiles, et on s'amuse à deviner quelle va être leur prochaine erreur. Miraculeusement, le personnage campé par Forest Whitaker embarque tout ce petit monde sur les chemins de la crédibilité, et le spectateur tremble à chaque instant pour la belle Jodie. Au final, si Panic Room n'est pas le meilleur film de Jodie Foster, il reste un spectacle haletant, parfait pour un film du dimanche soir.
Jean Claude VAN DAMME et Dolph LUNDGREN sont les interprètes de ce film d'action situé dans une base militaire. D'anciens GI, mi-hommes, mi-robots sont formés pour devenir des bêtes à tuer imperméables à la douleur, à l'émotion. Ils ont tout oublié de leur passé jusqu'au jour où deux d'entre eux commencent à retrouver la mémoire.
Rien ne semble pouvoir bouleverser la vie tranquille et paisible des habitants de Arborville. Pourtant quelque chose est tombé du ciel. Un organisme vivant, minuscule mais qui ne cesse de grandir, de proliférer. Bientôt, ce sera une énorme masse gélatineuse et carnivore, s'infiltrant partout, avalant tout sur son passage. En un mot : un blob !
Quelques années après l'envoi dans l'espace d'une sonde spatiale porteuse de messages de paix vers d'éventuels extra-terrestres, un engin suspect s'abat au-dessus d'une forêt américaine. Son passager, amical visiteur de l'espace, se réfugie chez une jeune veuve et prend l'apparence de son défunt mari.