John hatcher est un flic incorruptible qui va jusqu'au bout. ayant décidé de rendre visite à sa famille dans une petite ville des usa, il ne tarde pas à se heurter aux dealers locaux, dominés par screwface, assassin impitoyable et adepte du culte vaudou. quand screwface s'en prend à la famille de hatcher, celui-ci décide de traquer le trafiquant jusqu'aux caraïbes...
Le directeur d'un pénitencier déguise en suicides les meurtres perpétrés parmi ses condamnés, et ce afin de revendre leurs organes. le gouvernement, soupçonneux, lui envoie l'enquêteur louis burke ; mais lorsque ce dernier découvre le pot aux roses, le directeur met sur sa route un assassin qui se trouve être également une vieille connaissance. les amateurs du belge musclé en auront pour leur compte ; une fois encore, jean-claude van damme a su trouver un rôle qui lui sied à merveille, dans un domaine qu'il connaît bien : celui de l'action pure, des combats superbement chorégraphiés, des règlements de compte sur fond de trafic d'organes, et le tout dans un décor oppressant à souhait. en compagnie de time cop ou universal soldier, coups pour coups est considéré comme l'un des meilleurs van damme, remplissant parfaitement sa mission : vous divertir et vous couper le souffle. --david rault
Le jeune marty mcfly veut échapper à l'atmosphère familiale pesante et rend visite à doc brown, un savant farfelu, qui va lui présenter sa toute dernière invention : une machine à explorer le temps?christopher lloyd et michael j. fox sont entrés dans la légende en interprétant doc et marty, un tandem de choc dans un film qui explore le temps ainsi que la plupart des genres cinématographiques, du film d'aventure à la comédie romantique en passant par le film de science-fiction. produite par spielberg et réalisée par le surdoué robert zemeckis (forrest gump, seul au monde, roger rabbit), la trilogie retour vers le futur a marqué plusieurs générations et symbolise à elle-seule les années 80, puisqu'il y est constamment question de dates, de modes vestimentaires ou musicales et de différences marquées entre les époques.
film 1 : coulisses du tournage de 'retour vers le futur' - histoire d'une trilogie chapitre 1 - commentaires audio de robert zemeckis et bob gale - bêtisier - scènes coupées - 'le saviez-vous?' : anecdotes exclusives - photos - storyboard - accessoires - comparaison entre storyboard et version finale.
film 2 : coulisses du tournage - histoire d'une trilogie chapitre 2 - bêtisier - scènes coupées - test de l' hover board - photos - storyboard - accessoires - comparaison entre storyboard et version finale.
film 3 : histoire d'une trilogie chapitre 3 - bêtisier - scènes coupées - clip de zz top - photos - storyboard - accessoires - comparaison entre storyboard et version finale
2048. Hanté par un rêve qui l'entraîne sur Mars, Doug QUAID tente de satisfaire ce désir par le biais d'un hallucinogène. Mais la drogue lui fait découvrir que c'est sa vie actuelle qui n'est qu'un rêve, et qu'il fut reconditionné par l'espionne Lori à la solde du cruel COOHAGEN. Doug décide de s'envoler pour Mars.
Blow mad killer Jason Voorhees to smithereens in the opening sequence of the movie? Sorry, folks, you have to do better than that. Jason's evil spirit finds its way into a series of host bodies, thus continuing the carnage at Crystal Lake, in Jason Goes to Hell: The Final Friday. Naturally, part 9 is not the final Friday the 13th movie (no big deal: part 4, you'll recall, was titled The Final Chapter). Jason confronts a long-lost sister at the lake, while the usual assortment of naked teens are dispatched. This one tries to vary the formula a bit but ends up with a story line every bit as nonsensical as those that came before. The final sequence tries to put Jason away for keeps and calls upon the demons of hell for support. The last shot is an outrageous joke, which is perhaps what this franchise deserves.
Les scanners sont différents des autres hommes : ils ont le don de lire dans les pensées en scannant les cerveaux. mais ils ont aussi le pouvoir de provoquer une douleur si forte que le cerveau implose. forrester, qui veut devenir chef de la police, puis maire, va manipuler les scanners et utiliser leur force destructrice. avec le docteur morse, ils ont créé une drogue permettant le contrôle et le maintien des scanners dans un état d'esclavage et de dépendance.
C'est une guerre à finir, une incursion palpitante à la vitesse d'un supersonique dans l'univers des sensations fortes et de la terreur. Attachez vos ceintures!
Los Angeles 1997. Le détective Mike Harrigan et son équipe luttent contre toutes sortes de trafiquants. Bientôt, un tueur invisible et invulnérable décime leurs rangs. Mike mène son enquête et découvre que Los Angeles est devenue le terrain de chasse d'un prédateur venu d'un autre monde...
Chuck Norris fighting a South American drug dealer and his private army.
There's some atrocity-payback, and a whole lot of flying fists, kicks and elbows.
Two moments in particular stand out:
1. Chuck going one-on-one against a henchman, teaching him Lessons Number One and Two. Both involve pummeling.
2. Chuck training a bunch of recruits in a circle of pain. One poor sap even gets a head-plant into the dirt -- I'm not entirely sure it's a stunt.
Patrick SWAYZE interprète un fantôme qui, aidé d'une voyante excentrique tente de découvrir la vérité sur son propre assassinat et de sauver sa fiancée (Demi MOORE) d'un danger similaire.
Trois ans après le Robocop réalisé par Paul Verhoeven, Peter Weller enfile à nouveau son costume pare-balles de superflic futuriste. Mi-homme, mi-robot, Robocop passe désormais entre les mains du réalisateur Irvin Kershner, réalisateur du culte L'Empire contre-attaque. Cette fois-ci, le cyborg de l'OCP doit combattre un dealer-gourou qui vend une drogue surpuissante, mais aussi des politiciens véreux bien décidés à maîtriser le robot fasciste pour en faire un modèle de respectabilité citoyenne. Vous l'aurez compris, même s'il n'abandonne pas la carte de l'action (le combat final entre Robocop et un autre robot sécuritaire, devenu incontrôlable, est titanesque), Kershner suit les traces de son batave de prédécesseur dans le registre de la critique sociale et du second degré.