Oscar (Will Smith) est un petit poisson volubile dont les rêves de grandeur le mettent plus souvent qu'autrement dans l'eau chaude. Lenny (Jack Black) est un grand requin blanc qui a un côté sensible, et un secret : il est végétarien. Lorsqu'un pieux mensonge transforme Oscar en héros et que la vérité sur Lenny en fait un paria, les deux poissons deviennent des amis bien improbables. Baignant dans la gloire et la fortune, ayant désormais sa place en haut du récif, Oscar croit avoir accédé à la grande vie... jusqu'à ce qu'il ait à défendre son nouveau titre!
Nemo, un jeune poisson-clown curieux se retrouve accidentellement dans l'aquarium de la clinique d'un dentiste à Sydney en Australie. Inquiet, Marlin, son père et Dory, un poisson bleu amical mais distrait, partent à sa recherche. Durant leur périple, ils croiseront des requins végétariens, des tortues surfeuses, des méduses hypnotiques et des goélands affamés pendant que Nemo, de son côté, prépare un plan audacieux pour rentrer à la maison en toute sécurité.
Voilà un film hilarant qui aura en outre le mérite de rassurer les plus jeunes. En effet, les terrifiantes créatures de Monstres et Cie, qui tirent leur énergie des hurlements d'effroi des bambins, ont un léger défaut dans la cuirasse : ils ont peur des enfants. Une peur panique, qui prend une tournure dramatiquement drôle lorsqu'une (toute) petite fille parvient à se faufiler dans leur monde. Après une paire de Toy Story et l'excellent 1001 pattes, les équipes de Pixar réalisent encore une fois un coup gagnant avec cette histoire de monstres parfaitement réussie. Animation parfaite, personnages attachants - au premier rang desquels une adorable boule de poils bleus -, scénario prenant et surtout humour omniprésent, tout concourt à faire de ces 90 minutes un pur moment de bonheur. Sans doute destiné à un public plus jeune que ces prédécesseurs, Monstres et Cie séduira néanmoins également les adultes, notamment grâce à ce DVD en tout point parfait et qui permet en outre de profiter du film dans une version originale au casting ahurissant (John Goodman, Billy Crystal, James Coburn [!], Steve Buscemi).
Durant l'ère glacière, les changements climatiques et le manque de nourriture obligent l'ensemble des espèces animales à migrer vers des contrées plus accueillantes. Manny, le mammouth solitaire, Sid, le paresseux gaffeur et pot de colle, Diego, le tigre sournois et machiavélique à dents de sabre : trois caractères bien trempés, réunis pour la circonstance en une association contre nature, tentent de ramener un petit d'homme parmi les siens. Réalisé par l'un des précurseurs du genre, Chris Wedge qui travailla en 1982 sur le fameux Tron des studios Disney, L'Âge de glace conjugue adroitement le tragique poignant et le burlesque givré. De gags en poursuites échevelées, le périple de nos trois mammifères est mené tambour battant. Servi par une animation superbe qui n'a rien à envier aux productions de Pixar, le récit, truffé de clins d'?il qui raviront tous les publics, est rythmé par un comique de répétition dans le plus pur esprit des dessins animés de la Warner - Les intermèdes facétieux du petit écureuil Scrat et de son gland baladeur ne sont pas sans rappeler les frasques du coyote de Chuck Jones. Bestiaire insolite de personnages hétéroclites et attachants, L'Âge de glace reste un habile et détonant mélange entre l'ère moderne du cinéma d'animation et le cartoon de notre enfance. Les fans se réjouiront de retrouver sur ce double DVD, en plus du film, un court métrage mettant Scrat en vedette (lequel se laisse par ailleurs aller à quelques confidences), un second court métrage oscarisé, Bunny, ainsi que bon nombre d'infos sur la création de L'Âge de glace.
In the first season, Bart was the series' breakout star, but in the second, The Simpsons established itself as a true ensemble series. Each character came into their own with career-best episodes. Marge, the family's long-suffering voice of reason, crusades against cartoon violence in Itchy & Scratchy & Marge. Lisa, the heart and tortured soul of the series, develops an ill-fated crush on her new teacher in Lisa's Substitute. Bart desperately tries to raise the money to buy Radioactive Man No. 1 in Three Men and a Comic Book. Homer's stock rises when he grows hair in Simpson and Delilah. Joining the Simpsons roster of scene-stealing supporting characters are Dr. Hibbert (Bart the Daredevil), shyster lawyer Lionel Hutz (voiced by the late, great Phil Hartman in Bart Gets Hit by a Car), the Ahnold-esque action hero McBain (The Way We Was), slobbering aliens Kang and Kodos (Treehouse of Horror), and nutty professor Frink (Old Money). This essential, extras-laden DVD set is illustrative of why The Simpsons is, in the parlance of Comic Book Guy, funniest show ever.
America's first family of dysfunction, the Simpsons, appear in all their depraved glory in this wonderful DVD compilation of their show's premiere season. Fans accustomed to the slick appearance of the later episodes will be delighted by the rougher nature of these earlier episodes, when the characters weren't as well defined (Homer isn't quite as dumb as he is in later seasons) and the animation was still evolving. This only adds to the charm of these 13 episodes, which begin with Simpsons Roasting on an Open Fire, the December 1989 Christmas special in which a down-and-out Simpson family adopt Santa's Little Helper. Throughout the season, familiar faces are introduced, as we catch first glimpses of Smithers, Mr. Burns, the Flanderses, and Patty and Selma. Highlights of the season include The Crepes of Wrath, in which Bart is sent to France as an exchange student (Don't mess up France the way you messed up your room); Bart the Genius, in which Bart ends up in a school for the gifted; and Krusty Gets Busted, in which Bart's lifelong animosity with Sideshow Bob begins.
The adventures of pint-sized secret agents Juni and Carmen Cortes (Daryl Sabara and Alexa Vega) continue. As Spy Kids 3-D: Game Over opens, Juni has left the spy agency and launched a career as a private detective--but when he learns that his sister Carmen has disappeared into a nefarious multi-user computer game, he agrees to go in after her, with the assistance of his grandfather (Ricardo Montalban). Three-dimensional special effects launch us into a topsy-turvy world of battling robots, souped-up motorcycle races, frogs on pogo sticks, surfing on hot lava, and much, much more. The story is even more incoherent than an actual computer game--but the movie storms along, driven by writer/director/editor/everything-else Robert Rodriguez's sheer visual enthusiasm. Featuring Sylvester Stallone, Antonio Banderas, Carla Gugino, and everyone else who appeared in the first two Spy Kids movies.
Here's the pitch: It's like Toy Story but these toys that come to life really kick butt! That's essentially it for this breezy popcorn flick. In a very smart first 10 minutes, new toy-company owner Denis Leary tells his crew he wants toys that play back. Hence the small soldiers land in Anytown, U.S.A., and the loner kid Alan (Gregory Smith) opens them up before they are supposed to be on the shelves. Those military-grade chips sure make them smart and give the toys plenty of pithy retorts to boot. Plenty of violence, er, action, most of it fun enough. The vocal talents, including Tommy Lee Jones, Frank Langella, and cast members of The Dirty Dozen are inspired characters, the humans less so. With Gremlins director Joe Dante at the helm, it plays like a sequel to that '80s fantasy. Amazing visual effects, of course.