- American Gangster : Sans pitié et doté d'un sens très strict de l'honneur, le Boss du crime Frank Lucas, règne sur le milieu de la drogue dans les rues de Harlem. Lorsque le policier Richie Roberts entreprend de détruire l'empire colossal de Lucas, un duel sans merci prend place dans les rues de New York...
- Scarface : Au printemps 1980, le port de Mariel Harbor fut ouvert aux milliers d'immigrants venus chercher le fameux rêve américain. L'un d'eux trouva le long des avenues baignées de soleil de Miami... richesse, pouvoir et passion au-delà de ses espoirs les plus fous. Le prix du rêve : le sang et la drogue. Il s'appelait Tony Montana. Le monde se souviendra de lui sous un autre nom... Scarface.
- L'impasse : Fraîchement sorti de 5 années de prison par son avocat véreux David Kleinfeld, Carlito Brigante, ancienne figure emblématique de la pègre, rentre chez lui dans le quartier espagnol de Harlem. Pour se réinsérer dans la vie, il sait qu'il doit tourner le dos à son passé. Il veut partir aux Bahamas et monter une affaire honnête avec la femme de sa vie. Mais son passé le rattrape, et et ce qui a fait de lui un caïd de la mafia autrefois risque bien de lui coûter la vie aujourd'hui...
Des années 60 jusqu'au 2 novembre 1979, le parcours criminel hors norme d'un petit voyou de Clichy qui deviendra l'ennemi public n°1 : Jacques Mesrine...
L'histoire d'une grande famille de la mafia dirigée par Don Corleone qui ne veut pas de drogue dans son empire. Puis après la mort du parrain Don Corleone, son fils Michael Corleone va reprendre l'entreprise familiale en main et affronter la dure réalité du milieu.
Une édition particulièrement soignée pour ce film dont la mise en scène millimétrée livre avec une énergie jamais superflue une histoire de flics certes, mais surtout d'hommes et de femmes usés, brisés sous les uniformes et derrière les insignes. Olivier Marchal maîtrise son sujet et offre un univers peu orthodoxe, dans lequel l'affrontement entre Léo Vrinks, patron de la BRI aux méthodes éprouvées, et Denis Klein, patron de la BRB carriériste prend une dimension d'une force peu commune. Scénario ciselé, interprétation bluffante, 36, quai des Orfèvres est un polar made in France comme on n'en avait pas vu depuis des années.
Du côté des suppléments, on commencera par écouter le riche et passionnant commentaire audio d'Olivier Marchal avant de visionner le documentaire Qui veut la peau d'Olivier Marchal ? . Tous deux permettent d'apprécier le franc-parler du réalisateur. En complément, on appréciera les documents concernant les costumes et le choix des armes, les carnets de tournage et le making of, autant de bonus dont l'authenticité et la pertinence sont à la hauteur du film.