After all the controversy and rigorous debate has subsided, Mel Gibson's The Passion of the Christ will remain a force to be reckoned with. In the final analysis, Gibson's Folly is an act of personal bravery and commitment on the part of its director, who self-financed this $25-30 million production to preserve his artistic goal of creating the Passion of Christ (Passion in this context meaning suffering) as a quite literal, in-your-face interpretation of the final 12 hours in the life of Jesus, scripted almost directly from the gospels (and spoken in Aramaic and Latin with a relative minimum of subtitles) and presented as a relentless, 126-minute ordeal of torture and crucifixion. For Christians and non-Christians alike, this film does not entertain, and it's not a film that one can like or dislike in any conventional sense. (It is also emphatically not a film for children or the weak of heart.) Rather, The Passion is a cinematic experience that serves an almost singular purpose: to show the scourging and death of Jesus Christ in such horrifically graphic detail (with Gibson's own hand pounding the nails in the cross) that even non-believers may feel a twinge of sorrow and culpability in witnessing the final moments of the Son of God, played by Jim Caviezel in a performance that's not so much acting as a willful act of submission, so intense that some will weep not only for Christ, but for Caviezel's unparalleled test of endurance.
Leave it to the intelligentsia to debate the film's alleged anti-Semitic slant; if one judges what is on the screen (so gloriously served by John Debney's score and Caleb Deschanel's cinematography), there is fuel for debate but no obvious malice aforethought; the Jews under Caiaphas are just as guilty as the barbaric Romans who carry out the execution, especially after Gibson excised (from the subtitles, if not the soundtrack) the film's most controversial line of dialogue. If one accepts that Gibson's intentions are sincere, The Passion can be accepted for what it is: a grueling, straightforward (some might say unimaginative) and extremely violent depiction of the Passion, guaranteed to render devout Christians speechless while it intensifies their faith. Non-believers are likely to take a more dispassionate view, and some may resort to ridicule. But one thing remains undebatable: with The Passion of the Christ, Gibson put his money where his mouth is. You can praise or damn him all you want, but you've got to admire his chutzpah.
Buffy est un lycéenne au coeur léger qui ne rêve que d'une seule chose : épouser une star de cinéma et finir sa vie dans ses bras. Rien ne peut l'arrêter lorsqu'elle s'adonne à son passe-temps préféré : le shopping ! Mais sa vie va basculer lorsqu'un homme étrange et ténébreux lui apprend qu'elle a été choisie pour tuer des vampires !
New York, trois jours avant l'an 2000, le destin de Jericho Crane bascule. Cet ex-policier reconverti dans la sécurité découvre que les textes de l'apocalypse sont sur le point de se concrétiser. Satan, déguisé en homme, est en ville pour s'unir à une mortelle qui lui a été consacrée depuis sa naissance. De cette union, naîtra l'instrument de la destruction de l'humanité. Effets spéciaux à couper le souffle, pluie incessante, ambiance glauque et violente : Shwarzenegger aime surprendre, et c'est à un véritable combat du bien contre le mal, incarné avec justesse par Gabriel Byrne, que nous convie le réalisateur Peter Hyams. De plus, vous trouverez, sur le DVD, un making of et un documentaire sur les effets spéciaux, d'une durée de trente minutes chacun.
Le Texas vit sous la terreur d'un tueur en série qui se fait appeler La Main de Dieu. Un soir, un homme sans histoire, Fenton Meiks, se présente au QG du FBI et déclare connaître l'identité du coupable. Ce dangereux criminel ne serait autre que son frère, Adam, qui vient de se suicider.
Alors qu'ils roulent en direction du Jardin des roses, où les corps des victimes d'Adam sont enterrées, Fenton raconte aux agents fédéraux comment tout a commencé vingt ans plus tôt, en 1979. A l'époque, il était âgé de douze ans et son frère de neuf. Tous deux vivaient une enfance heureuse avec leur père, veuf depuis la naissance d'Adam. Pourtant, une nuit, leur vie bascula lorsque leur père leur annonça qu'un ange lui était apparu et qu'ils devaient accomplir une mission. Alors que l'un des deux fils accepte sans réserve cette vision divine, l'autre pense que son père sombre dans la démence.
Ile de Jersey, 1945. La Seconde Guerre Mondiale est terminée mais le marie de Grace ne rentre pas. Seule dans une immense demeure victorienne, elle élève ses enfants qui souffrent d'une étrange maladie : ils ne supportent pas la lumière du jour.
Pour tous les occupants du domaine, une seule règle vitale : la maison doit rester dans l'obscurité ; ne jamais ouvrir une fenêtre en leur présence. Cet ordre simple sera pourtant enfreint.
Dès lors, Grace, les enfants et tous ceux qui les entourent devront en supporter les conséquences.
Frankie, jeune femme dynamique, mène une vie sans histoires entre son boulot, son compagnon et ses copines de sorties, jusqu'au jour où sa mère lui envoie du brésil un chapelet volé sur la dépouille du prêtre de belo quinto. l'existence de frankie sombre alors dans l'horreur : elle est victime de plusieurs agressions dont elle ne peut expliquer les circonstances. une ambiance fascinante. une tension qui va crescendo. un suspense sans échappatoire et des effets spéciaux à la hauteur d'un scénario magistral. un film qui réunit brillament thriller et épouvante, dans la lignée du sixième sens et de l'exorciste.
Quatre lycéennes décident d'avoir recours à la magie noire afin d'invoquer les esprits les plus puissants, et de transformer leurs rêves en réalité. mais entre formules secrètes et incantations mystérieuses, on ne plonge pas sans précautions dans l'univers occulte...
David est un être étrange - il loue une chambre chez un jeune couple parce qu'un bébé va naître - d'après lui, ce sera le dernier humain avant l'apocalypse
Boston 1691 : Warlock, serviteur de Satan, semble promis à l'execution immédiate de sentences, la mort sur le bûcher. Son ennemi juré, le chasseur de sorcières Redferne se réjouit de la situation. Mais Warlock exhorte son maître de lui venir en aide. Satan, prenat la forme d'un orage d'une puissence exceptionelle, délivre son suppôt de ses chaînes. Los Angeles de nos jours : Warlock perd connaissance dans la chute. Malgrès leur inquiétude, Chas et la jeune femme qu'il loge,, Kassandra, le soignent. Toujours malfaisant, Warlock tue sauvagement son sauveteur et jette un sort à sa compagne : celle-ci vieillira de 20 ans toutes les 24 heures !
Clever and original, this horror film directed by Steve Miner (Forever Young) stars Julian Sands as a 17th century warlock who escapes the gallows and is transported--along with the witch hunter who brought him to trial (Richard E. Grant)--300 years into the future. Running loose in contemporary Los Angeles, Sands's supernatural monster sets about reuniting the scattered portions of a Devil's Book that will reveal the true name of God and thus destroy mankind. In a great twist, the last bit of the book is in a very interesting place: the grave of Grant's character, who has enlisted the aid of a woman (Lori Singer) in a hurried effort to stop imminent disaster. Genuinely involving, Warlock is aided immeasurably by sharp performances from the equally eccentric Grant (Withnail and I) and Sands (Naked Lunch). Miner invents his way through a kind of simultaneously new and old horror tale, and the results are taut, fun, and surprising.