Qu'on se le dise : personne n'est à l'abri de Réal Béland? Pas même en France! Parti pour le pays du camembert au printemps dernier, l'humoriste a véritablement créé une onde de choc. Du simple touriste traumatisé aux plus grandes chaînes de télévision nationale, en passant par le commissariat de police, le roi de l'absurde était prêt à défier tout le monde. Pour preuve, la sortie aujourd'hui en format DVD des images issues de cette délirante aventure sous l'appellation Les Cousins du Vrai Monde. Une véritable consécration qu'il n'a assurément pas volée!
Flanqué de son éternel acolyte Stéphane Lapointe et du réalisateur Stéphane Lefebvre, Réal Béland a sillonné allégrement les routes françaises à la recherche de victimes souvent fort enthousiastes, mais parfois un peu moins? Plongeant dans la faune humaine, l'équipe de joyeux lurons a su manier à merveille l'improvisation sauvage au profit d'épisodes humoristiques franchement inoubliables.
Que ce soit sur les Champs Élysées à Paris ou sur la célèbre Croisette à Cannes, rien ni personne (sauf peut-être la police nationale) n'a pu les empêcher de relever leurs défis sans queue ni tête! Armés de caméras à l'épaule ou habilement dissimulées, Réal et ses comparses ont réussi à foutre le bordel plus d'une fois. Que ce soit lors d'une visite de la chorale gaie de Paris à titre de véritable couple, au Musée du Louvre dans le rôle de siamois, ou encore dans le bureau d'une productrice où ils incarnent des Inuits venus vendre leur spectacle à Paris, Réal Béland et Stéphane Lefebvre dépassent les limites de l'imaginable et frisent carrément le délire!
After all the controversy and rigorous debate has subsided, Mel Gibson's The Passion of the Christ will remain a force to be reckoned with. In the final analysis, Gibson's Folly is an act of personal bravery and commitment on the part of its director, who self-financed this $25-30 million production to preserve his artistic goal of creating the Passion of Christ (Passion in this context meaning suffering) as a quite literal, in-your-face interpretation of the final 12 hours in the life of Jesus, scripted almost directly from the gospels (and spoken in Aramaic and Latin with a relative minimum of subtitles) and presented as a relentless, 126-minute ordeal of torture and crucifixion. For Christians and non-Christians alike, this film does not entertain, and it's not a film that one can like or dislike in any conventional sense. (It is also emphatically not a film for children or the weak of heart.) Rather, The Passion is a cinematic experience that serves an almost singular purpose: to show the scourging and death of Jesus Christ in such horrifically graphic detail (with Gibson's own hand pounding the nails in the cross) that even non-believers may feel a twinge of sorrow and culpability in witnessing the final moments of the Son of God, played by Jim Caviezel in a performance that's not so much acting as a willful act of submission, so intense that some will weep not only for Christ, but for Caviezel's unparalleled test of endurance.
Leave it to the intelligentsia to debate the film's alleged anti-Semitic slant; if one judges what is on the screen (so gloriously served by John Debney's score and Caleb Deschanel's cinematography), there is fuel for debate but no obvious malice aforethought; the Jews under Caiaphas are just as guilty as the barbaric Romans who carry out the execution, especially after Gibson excised (from the subtitles, if not the soundtrack) the film's most controversial line of dialogue. If one accepts that Gibson's intentions are sincere, The Passion can be accepted for what it is: a grueling, straightforward (some might say unimaginative) and extremely violent depiction of the Passion, guaranteed to render devout Christians speechless while it intensifies their faith. Non-believers are likely to take a more dispassionate view, and some may resort to ridicule. But one thing remains undebatable: with The Passion of the Christ, Gibson put his money where his mouth is. You can praise or damn him all you want, but you've got to admire his chutzpah.
The usual slasher-movie teens charter a boat to attend a rave in Washington's San Juan islands, find zombies there, and splatter their guts all over the place. House of the Dead shows early promise when the boat captain is the dude from Das Boot (Jürgen Prochnow) and the mate is the inimitably weird Clint Howard. Alas, things devolve from there. The movie includes frequent flashes from its video game inspiration, not that we need much reminding of the obvious source. Amongst the rotten dialogue, bad acting, and gratuitous topless scenes, there's one looooong shootout sequence in the middle of the picture that should be the main attraction for fans of this kind of thing. Otherwise, it's at the level of every other slasher movie, video game or no video game, in which stupid people do stupid things to keep themselves in harm's way.
voila un petite avis a propos d'un film que l'on pourrait dire banal mais moi en tout cas c'est un film qui ma touché car avant de voir l'homme qui punit on voit l'homme qui a perdu ca famille et qui n'a plus rien a perdre personnelement j'ai trouvé se film génial.
Jimmy Markum, Dave Boyle et Sean Devine ont grandi ensemble dans les rues de Boston. Rien ne semblait devoir altérer le cours de leur amitié juvénile. Maintenant adultes, une tragédie rapproche soudain les trois hommes : Katie, la fille de Jimmy, est retrouvée morte au fond d'un fossé. Le père endeuillé ne rêve plus que d'une chose : se venger. Sean, maintenant un policier, est affecté à l'enquête, et il croit connaître le coupable : Dave Boyle...
Né dans les flammes de l'Enfer, Hellboy est un demon a la peau rouge et au bras droit en pierre destiné à servir les forces infernales à des fins de conquête. Une fois libéré de ses créateurs par le docteur Broom, Hellboy (Ron Perlman) devient une machine à faire le Bien, ses principaux adversaires étant des vampires et des loups-garous. Entre temps, il tombera amoureux d'une jeune femme, Liz Sherman (Selma Blair), qui a le pouvoir de contrôler le feu par la pensée.
Le climatologue Jack Hall avait prédit l'arrivée d'un autre âge de glace, mais n'avait jamais pensé que cela se produirait de son vivant.
Un changement climatique imprévu et violent à l'échelle mondiale entraîne à travers toute la planète de gigantesques ravages : inondations, grêle, tornades et températures d'une magnitude inédite. Jack a peu de temps pour convaincre le Président des Etats-Unis d'évacuer le pays pour sauver des millions de personnes en danger, dont son fils Sam.
A New York où la température est inférieure à - 20° C, Jack entreprend une périlleuse course contre la montre pour sauver son fils.
2002's popular video-game-derived hit Resident Evil didn't inspire confidence in a sequel, but Resident Evil: Apocalypse defies odds and surpasses expectations. It's a bigger, better, action-packed zombie thriller, and this time Milla Jovovich (as the first film's no-nonsense heroine) is joined by more characters from the popular Capcom video games, including Jill Valentine (played by British hottie Sienna Guillory) and Carlos Olivera (Oded Fehr, from 1999's The Mummy). They're armed and ready for a high-caliber encounter with devil dogs, mutant Lickers, lurching zombies, and the leather-clad monster known only as Nemesis, unleashed by the nefarious Umbrella Corporation responsible for creating the cannibalistic undead horde. Having gained valuable experience as a respected second-unit director on high-profile films like Gladiator and The Bourne Identity, director Alexander Witt elevates this junky material to the level of slick, schlocky entertainment.
Blanchard Ryan et Daniel Travis sont venus aux Bahamas pour se détendre, et ils en ont bien besoin. Adeptes de la plongée, ils s'inscrivent pour une expédition en haute mer. Parce que le bateau est trop plein, parce que l'équipage ne fait pas vraiment attention, ils se retrouvent seuls, perdus au large, dans des eaux infestées de requins...
Après le divorce de ses parents et les difficultés rencontrées dans le collège où elle étudiait, Buffy Summers débarque à Sunnydale, une petite ville toute tranquille du sud de la Californie. Tout à l'air calme et Buffy veut profiter de la nouvelle vie qui s'offre à elle, mais très vite des morts suspectes dans l'enceinte du lycée la ramènent à la réalité : des vampires opèrent à l'intérieur.
Buffy est la tueuse, de vampires, et chaque génération à sa tueuse. Elle a été choisie pour accomplir son destin car elle est l'élue. Elle devra faire face à toutes sortes de démons et de monstres qui se sont retrouvés à Sunnydale. Il s'avérera que la ville est en fait une bouche de l'enfer. Giles, le bibliothécaire du lycée sera son observateur et il est chargé de la préparer et l'entraîner à combattre les démons car la moisson qui se prépare. Rapidement elle devra révéler sa vraie nature à ses nouveaux camarades Alexander, Willow, qui l'accepteront et deviendront ses complices.
Une théorie prétend que si l'on pouvait retourner dans le passé et changer quelques détails de notre vie, tout ce qui en découle serait modifié. On appelle cela l'effet papillon. Evan Treborn a cette faculté. Fasciné, il va d'abord mettre ce don au service de ceux dont les vies ont été brisées dans leur enfance. Il peut enfin repartir dans le passé et sauver la seule jeune fille qu'il ait jamais aimée.
Mais Evan va découvrir que ce pouvoir est aussi puissant qu'incontrôlable. Il va s'apercevoir que s'il change la moindre chose, il change tout. En intervenant sur le passé, il modifie le présent et se voit de plus en plus souvent obligé de réparer les effets indésirables de ses corrections...
La troisième saison démarre en trombe. Le tout débute avec la disparition de jeunes enfants et le meurtre de femmes enceintes, l'Affaire Doyle. De plus, la meurtrière prend le soin de kidnapper les foetus.Cette affaire est à peine terminée que débute une étrange épidémie de suicides. Un gourou, dans l'Affaire Derôme, se servirait de son pouvoir pour inciter ses fidèles à commettre des meurtres sordides. Et finalement, la saison se termine avec une histoire de viol et de meurtre. Combien y' a-t-il de meurtriers dans l'Affaire Rouleau ? Quel est le fameux secret d'Anne? Nous savons qu'elle a été violée... mais ce n'est pas tout...
Buffy est un lycéenne au coeur léger qui ne rêve que d'une seule chose : épouser une star de cinéma et finir sa vie dans ses bras. Rien ne peut l'arrêter lorsqu'elle s'adonne à son passe-temps préféré : le shopping ! Mais sa vie va basculer lorsqu'un homme étrange et ténébreux lui apprend qu'elle a été choisie pour tuer des vampires !
Un week-end festif tourne au cauchemar pour six jeunes, prisonniers de la Maison de Cire?
Carly (Elisha Cuthbert), Paige (Paris Hilton) et leur copains ont pris la route pour assister au plus grand match de foot de l'année. Le groupe décide de camper dans la nature, et les ennuis commencent avec l'intrusion nocturne d'un mystérieux routier. La tension et l'angoisse montent rapidement, et Carly aura fort à faire pour désamorcer une bagarre entre son petit ami Wade (Jared Padalecki) et son frère Nick (Chad Michael Murray).
Le lendemain, les jeunes découvrent que leur voiture a été sabotée. Un autochtone offre de les conduire à Ambrose, la seule ville à des kilomètres à la ronde. L'attraction locale est un musée à nul autre pareil, peuplé de statues de cire d'un réalisme stupéfiant, qu'on jurerait? VIVANTES. Cary et ses amis ne vont pas tarder à comprendre pourquoi, et à découvrir les noirs secrets d'Ambrose et son sculpteur fou?