Peyton Westlake est un généticien de génie qui vit heureux avec sa femme Julie Hastings, avocate. Le jour où cette dernière récupère un document rapportant les agissements douteux de Louis Strack et que les preuves finissent par arriver dans le laboratoire de Peyton, Louis Strack envoie des tueurs pour le récupérer. Victime d'un massacre sanglant, Peyton survit, bien qu'il soit gravement blessé et défiguré. Grâce à ses travaux sur une peau synthétique, il met en place un plan pour assouvir sa vengeance contre ceux qui l'ont laissé pour mort.
Un clan de voleurs silencieux sévit au c?ur de New York. En pleine enquête sur ces mystérieux méfaits, la journaliste April O'Neil est sauvée d'une agression par raphael, une des quatre tortues humanoïdes vivants dans les égouts avec Splinter, un rat expert en arts martiaux. Avec l'aide d'April et de Casey Jones, un justicier auto-proclamé aux méthodes douteuses, les tortues Ninja devront affronter le clan d'Oroku Saki alias Shredder, un vieil ennemi de leur maître...
Une nouvelle drogue circule dans les rues de Détroit, le Nuke. Elle est contrôlée par une secte qui a pour gourou Cain.
L'OCP tente une OPA sur la ville de Détroit, qui a de plus en plus de mal à se financer et a contracté une énorme dette envers l'OCP. L'OCP a aussi pour projet de créer RoboCop 2, un nouveau cyborg, mais elle peine à trouver un bon sujet pour la cybernétisation.
RoboCop, toujours flic, essaie de faire face à la situation, au trafic de drogue, à l'OCP et à son nouveau projet pour protéger les citoyens de Détroit.
Washington, D.C., 1990. Deux ans après les évènements du Nakatomi PlazaN 2, John McClane a quitté New York et est désormais un officier de la police de Los Angeles. Il attend sa femme Holly à l'aéroport international de Washington-Dulles. John ignore que c'est ici même que va se poser l'avion de Ramon Esperanza, un général du Val VerdeN 3 qui doit être traduit devant la justice américaine pour trafic de stupéfiants. Au sol, un groupe de mercenaires, dirigé par le colonel William Stuart, fait chanter les autorités en coupant les communications entre la tour de contrôle et les appareils en vol afin de faire évader Esperanza.
Rocky Balboa revient aux États-Unis avec quelques ennuis de santé après son violent combat contre le Russe Ivan Drago. Ayant décidé de prendre définitivement sa retraite, notamment à cause d'une lésion au cerveau causée par les coups répétés du Russe sur sa tête, Rocky se retrouve ruiné à cause d'une procuration générale à un comptable, signée par Paulie. Obligé de revendre tous ses biens, il est contraint de réintégrer le quartier de Philadelphie de ses débuts.
Ayant repris l'ancien gymnase de Mickey Goldmill, Rocky fait la connaissance de Tommy Gunn, un jeune boxeur prometteur qui lui demande d'être son manager. Après quelques hésitations, Rocky conduit Tommy au sommet du classement mondial tandis que Rocky Junior, qui se sent rejeté, se fait agresser à son école.
En 1988, Tommy se retourne contre Rocky, jugeant qu'il ne l'aide pas à devenir champion du monde, et rejoint le promoteur George Washington Duke qui lui permet d'avoir le titre en battant le champion proposé par Duke, Union Cane. Tommy n'est cependant pas soutenu par la presse qui voit toujours Rocky comme le champion du monde.
Avec Duke, Tommy provoque Rocky, allant jusqu'à frapper Paulie, pour qu'ils combattent dans un combat de rue à Philadelphie. Lors du combat, Rocky ressent encore les traumatismes de son combat contre Drago mais réussit à mettre Tommy au tapis, prouvant une nouvelle fois son courage et sa supériorité. Rocky et son fils, réconciliés, montent ensemble les marches mythiques qui ont fait de lui un champion.
Marty McFly se retrouve coincé en 1955 à la fin du deuxième épisode de la saga puisque son ami, le docteur Emmett « Doc » Brown a disparu involontairement, volatilisé par un éclair qui s'est abattu sur la DeLorean (une voiture équipée d'une machine à voyager dans le temps) qui devait les ramener ensemble en 1985, juste après avoir terminé leurs aventures lors du deuxième épisode de la série.
En 1863, durant la guerre de Sécession, le lieutenant nordiste John Dunbar est gravement blessé à une jambe lors d'un combat. Refusant de devenir, au mieux invalide (il est convaincu de finir amputé), au pire de mourir d'hémorragie ou d'infection, il a un mouvement d'orgueil suicidaire. Le soldat remet sa botte, choisit au hasard un cheval, le chevauche et réagit de manière désespérée en effectuant un aller-retour au galop devant les lignes ennemies proches de sa position en levant les bras, sans armes. Il est certain d'être tué, pour autant il échappe miraculeusement aux balles. Son coup d'éclat passe pour une action héroïque. Cela encourage ses compagnons à lancer une attaque décisive et lui permettra par la suite de bénéficier des soins du chirurgien personnel du général, admiratif de son « exploit ».
Une fois décoré et entièrement rétabli, il demande sa mutation dans un avant-poste de l’Ouest sauvage pour échapper à l'horreur du souvenir de la guerre.
Il se retrouve dans un « fort » — en réalité une cabane en bois avec une remise séparée — mystérieusement déserté par la petite troupe qui était censée le tenir. Il est donc seul et satisfait de l'être. Il a pour compagnons un jeune loup solitaire qu'il appelle « Chaussettes » (« Two Socks ») et qu'il apprivoise lentement, ainsi que sa fidèle monture, nommée Cisco, qu'il a conservée.
Mais les renforts n'arrivent pas car les deux seuls hommes qui connaissent la présence de Dunbar dans ce poste avancé meurent avant de pouvoir le signaler : le major déséquilibré qui l'y a affecté se suicide juste après le départ de Dunbar et le muletier qui l'y a conduit avec le chargement de vivres, de matériel et de munitions destiné à la garnison est massacré sur la route du retour par un petit groupe d'Indiens Pawnees.
Les journées du soldat se résument à parcourir la région puis à consigner, dans son journal, ses observations en attendant l’arrivée de renforts hypothétiques.
Seulement, une tribu indienne de Sioux installée à proximité découvre son poste en voyant la fumée de son feu. Les relations qu'il entretient avec quelques-uns des membres de la tribu, dont on découvre qu'elle est installée à quelques heures de chevauchée du poste de Dunbar, sont conflictuelles, faites de méfiance et de peur réciproques, marquées par plusieurs tentatives des Sioux de voler son cheval. Progressivement, Dunbar établit le contact en sauvant une Indienne blanche, « Dressée avec le Poing » (« Stands with the fist »), qui tentait de se suicider après la mort de son époux Sioux.
La communication est difficile et les échanges brefs. Mais le lieutenant va finir par se lier d'amitié avec la tribu, à tel point qu'il est invité régulièrement au campement indien.
Un jour, alors que ses amis Sioux attendent fébrilement l'arrivée des bisons, il se précipite jusqu'à leur campement pour leur annoncer par gestes qu'il les a repérés passant près du poste qu'il tient. Il est invité à les chasser avec eux. Durant la chasse, il sauve un jeune Indien (« Sourit Beaucoup ») de la charge d'un énorme bison, ce qui lui vaut le respect et l'admiration de toute la communauté, ainsi que sa totale admission parmi eux. Le lieutenant est par la suite aperçu en train de jouer avec le loup Chaussettes qu'il a « adopté » ; les Indiens visualisant cela comme un signe le nomment alors « Danse avec les Loups » (« Dances with wolves »).
Il tisse et entretient des rapports privilégiés avec « Oiseau bondissant », le « saint homme » (chaman) de la tribu, père adoptif de Dressée avec le poing, de même avec Cheveux au vent qui est un grand guerrier, ou encore Dix Ours, le chef du village. Il tombe sous le charme de Dressée avec le poing qui sert d'intermédiaire entre lui et les Indiens. Elle a conservé quelques rudiments d'anglais, sa langue natale. Les Sioux l'ont recueillie et adoptée très jeune après le massacre de sa famille par les Pawnees, la tribu ennemie des Sioux, dont elle fut la seule survivante.
Au fil des mois, le lieutenant John Dunbar délaisse totalement son rôle de soldat et devient Sioux à part entière. Il se marie avec Dressée avec le poing à la manière Indienne après qu'Oiseau bondissant ait levé le deuil de cette dernière, puis sauve toute la tribu d'une attaque des Pawnees. Pour ce faire, il va récupérer avec Sourit beaucoup, sous la pluie, le stock de fusils qu'il avait enterré près du fort.
Mais les soldats blancs arrivent inexorablement dans les territoires des Indiens ; cette menace – qui pèse sur tout le film – inquiète légitimement la tribu. Celle-ci décide de migrer pour l'hiver et le lieutenant retourne une dernière fois au fort, pour récupérer le carnet dans lequel il tient son précieux journal depuis le premier jour, de manière à ne pas laisser d'indices compromettants.
Lorsqu'il parvient près du poste, il découvre que la relève est enfin arrivée. Les militaires sont des soudards, des illettrés brutaux et dangereux. Le poste s'est agrandi avec des tentes de campement et de nombreux soldats le gardent. Vêtu et paré en Indien, le lieutenant se fait tirer dessus et son cheval est mortellement touché. Lui-même est brutalement frappé bien qu'il leur affirme, en Anglais, qu'il n'est pas un de leur ennemi.
Par la suite, il est renvoyé vers l'Est enchaîné et sous bonne escorte afin d'y être jugé et pendu pour trahison. Pendant ce transfert, ses gardes tuent Chaussettes qui s'était montré.
Les Indiens, inquiets de ne pas voir revenir Danse avec les Loups, ont envoyé des guerriers à sa recherche. Le voyant souffrir sous le joug des militaires, ils lancent l'assaut sur le convoi et délivrent le lieutenant, massacrant son escorte. Le lieutenant tue lui-même le plus ignoble et le plus veule de ses gardiens, celui qui avait dérobé son journal et l'utilisait d'ailleurs comme papier hygiénique.
Après avoir rejoint le campement d'hiver récemment installé, John Dunbar décide de quitter la tribu en compagnie de sa femme Dressée avec le Poing, après avoir persuadé Dix Ours de déplacer à nouveau son campement. En effet, l'armée le considère comme un traître et sa recherche risque certainement de mettre en péril la communauté toute entière.
Il décide alors de partir pour pouvoir s'expliquer, muni, à titre de preuve, de son précieux journal restitué par Sourit Beaucoup qui l'avait miraculeusement récupéré flottant dans la rivière après l'assaut sur le convoi. L'armée trouve le campement déménagé et un loup hurle dans le lointain.
Un dernier intertitre signale que treize ans plus tard, la dernière tribu Sioux libre, qui a vu ses foyers détruits et ses bisons chassés, est soumise à l'autorité blanche à Fort Robinson, Nebraska, et que la Grande Culture des Plaines s'est éteinte.